Le titre d’œnologue s’obtient après une formation de 2 ans : le Diplôme National d’Œnologue, accessible avec un diplôme d’études supérieures de niveau licence. Les domaines d’études conseillés pour la licence sont ceux des sciences biologiques, chimiques, biochimiques et agronomiques. La formation est aussi accessible aux élèves ingénieur en agriculture.

Quatre universités ou instituts rattachés préparent en France au titre d’œnologue. Il s’agit des UFR de Dijon, Bordeaux, Reims, Toulouse. Deux écoles d’ingénieurs publiques proposent également le Diplôme national d’œnologue dans leur offre de formation : Sup Agro Montpellier et l’Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse (ENSAT).

La sélection se fait pour la plupart des écoles après étude de dossier, complétée par un entretien. Certaines formations sont plus restrictives dans leurs critères d’admission, ainsi l’Université Bordeaux mentionne sur son site Internet que l’admission est réservée aux étudiants titulaires d’une licence Biologie ou Chimie. Les deux années d’études peuvent être réalisées en apprentissage à Bordeaux et Dijon pour les universités, et Toulouse pour l’école d’ingénieur.

Depuis septembre 2021, le DNO, diplôme national d’œnologie, confère le grade de Master. Cela signifie que désormais les étudiants titulaires d’un DNO pourront poursuivre leurs études en doctorat s’ils le souhaitent.

Cette réforme a permis également de modifier le contenu du diplôme désormais plus en lien avec les attentes des professionnels. Il intègre également de nouvelles thématiques pour répondre aux défis à venir de la filière viticole : changement climatique, sécurité alimentaire, et responsabilité sociale et environnementale (RSE) des entreprises.

L’œnologue peut s’orienter soit vers la production viticole et travailler pour une exploitation ou une coopérative, soit vers le conseil, et travailler pour un laboratoire, ou encore la commercialisation. La profession est exercée par environ 7000 personnes en France.

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Cet épisode est proposé par Laurence COIFFARD

Dans cet épisode, nous présentons le BAC Technologique STI2D – Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable

Il existe au total 8 BAC Technologiques couvrant différents secteurs d’activités, ils associent des enseignements généraux et technologiques et permettent de se spécialiser dans un domaine. Ils préparent davantage à la poursuite d’études qu’à un emploi immédiat.

Le BAC STI2D s’adresse aux élèves venant d’une seconde générale ou technologique intéressés par l’industrie, l’innovation technologique, la préservation de l’environnement et la conception de nouveaux produits.

L’enseignement est conçu autour d’activités expérimentales et la réalisation de projets pour permettre aux élèves de collaborer entre eux mais aussi de développer leur esprit d’analyse et leur prise d’initiative.

En plus des matières générales, ce BAC propose 3 spécialités en 1ère : Innovation technologique, Ingénierie et développement durable et Physique-chimie et mathématiques. Puis 2 spécialités, en Terminale, Physique-chimie et mathématiques et Ingénierie, innovation et développement durable. Dans cette dernière spécialité, vous pourrez choisir un des 4 enseignements spécifiques suivants: Innovation technologique et éco-conception ou systèmes d’information et numérique ou énergies et environnement ou architecture et construction.

Le BAC STI2D validé vous permettra de poursuivre vers des études supérieures nombreuses et variées. Une majorité d’élèves se dirige vers un BTS ou un BUT, mais aussi vers une classe prépa TSI ou vers une école d’ingénieur ou éventuellement vers une licence en sciences industrielles ou en sciences fondamentales.

Si vous souhaitez poursuivre vos études en BTS, en fonction des spécialités choisies, il vous sera possible d’accéder, par exemple, à un BTS Services informatiques aux organisations (SIO) ou un BTS Conception des produits industriels (CPI).

Sont également adaptés aux élèves du BAC STI2D, par exemple, le BUT Génie électrique et informatique industrielle (GEII) ou le BUT Métiers du multimédia et de l’Internet (MMI) ou le BUT Génie Mécanique et Productique (GMP).

En synthèse, avec le BAC STI2D vous pourrez vous diriger vers les métiers du développement durable, du BTP ou de l’industrie en tant que technicien ou ingénieur.

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Cet épisode est proposé par Claire GABORIEAU

Vous avez déjà sûrement tous entendu parler des tests d’orientation pour vous aider dans le choix de votre avenir professionnel. Mais sont-ils vraiment fiables ? Comment interpréter vos résultats ?

Que nous ayons une bonne expérience avec ou non, les tests d’orientation sont des outils très plébiscités par les professionnels de l’accompagnement.

Très longtemps, ils ont été perçus comme très limitants, c’est-à-dire qu’ils nous « enfermaient dans une case », sans possibilité d’en sortir.

La plupart des tests professionnels prennent en compte la personnalité, les valeurs, les préférences personnelles et professionnelles de chaque personne. Ce qui est important de retenir, c’est que les tests n’ont pas pour objectif de définir pour vous une voie toute tracée, mais bien de vous aider pour trouver celle-ci, tout en se rapprochant de qui vous êtes au fond de vous.

Par exemple, si vous êtes doté d’une personnalité très introvertie, il se peut que les résultats de vos tests vous orientent vers des métiers qui ne nécessitent pas une constante stimulation extérieure, mais plutôt vous orienter vers des métiers ou environnements « calmes », permettant de prendre le temps de la réflexion.

Cela ne veut bien sûr pas dire que vous n’avez pas la capacité d’exercer dans un environnement en constant mouvement, mais que tout simplement, au vu de votre trait de personnalité dominant, ce n’est peut-être la meilleure option à choisir pour votre épanouissement futur.

Néanmoins, la meilleure des solutions pour trouver sa voie est d’avant tout bien apprendre se connaître soi-même dans un premier temps, mais aussi, dans la mesure du possible de tester un métier ou rencontrer des professionnels qui exercent la ou les professions qui vous intéressent, afin de vous aider à vous projeter et à faire votre choix.

Vous l’aurez compris, les tests d’orientation restent tout de même fiables et proches de la réalité, mais ils ne sont pas une fin en soi. Ils sont là pour vous guider, vous inspirer, vous ouvrir les portes vers d’autres possibilités. Le plus important sera toujours de vous faire votre propre expérience personnelle !

Quelques exemples

• Tests payants :

https://www.centraltest.fr/solutions/atout-orientation https://www.centraltest.fr/solutions/bf5

• Tests gratuits :

https://www.letudiant.fr/test/metiers/orientation/pour-quels-metiers-etes-vous-fait.html https://www.onisep.fr/Media/Multimedia/Quiz-de-positionnement/Des-metiers-selon-mes-gouts https://www.oriane.info/je-passe-le-test-dorientation-oriane

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épisode proposé par Océane Tartarin

Nous pensons déjà bien nous connaître, mais c’est en se posant la question de « Qui je- suis ? » qu’il nous arrive parfois d’avoir des difficultés à y répondre. Alors, qu’est-ce que c’est « apprendre à bien se connaître » ?

Bien se connaître est un apprentissage continu et fait partie intégrante de votre vie d’enfant, d’adolescent, de jeune adulte et d’adulte.

Il existe pour cela, de nombreux leviers d’apprentissages sur la connaissance de soi :

L’un d’eux est d’apprendre à connaître et reconnaître ce que vous aimez : c’est-à-dire, de vous demander quelles activités vous plaisent au quotidien, comment est-ce que vous occupez votre temps libre, ou encore quels sont les sujets qui vous intéressent et vous touchent plus particulièrement.

Un autre levier est d’apprendre à bien cerner votre personnalité : est-ce que je suis plutôt d’un naturel timide ? Est-ce que j’aime passer du temps entouré(e)d’autres personnes ? Est-ce que je ressens le besoin d’être au calme régulièrement ? Ai-je besoin d’être très organisé(e) pour me sentir en sécurité ? Ai-je besoin de trouver beaucoup d’occupations différentes pour m’épanouir, ou bien simplement me passionner pour un sujet précis me correspond mieux ?

Un troisème levier et pas des moindres, peut-être même le plus important, va être d’apprendre à connaître et à reconnaître vos émotions : savoir vous écouter, écouter vos ressentis, écouter votre intuition. Cela veut dire analyser vos réactions dans une situation précise et comprendre ce qui vous bloque, vous freine, ou bien au contraire vous motive, vous enthousiasme. Les émotions sont des guides dans nos vies et nous aident à prendre les bonnes décisions pour avancer.

Il existe de nombreuses autres façons d’apprendre à bien se connaitre. Nous en détaillons certaines dans les épisodes ce ce podcast.

Pour vous aider à y voir plus clair, il existe de nombreux exercices qui peuvent vous éclairer dans votre questionnement comme les exercices de projection, les exercices d’écriture thérapeutique, les tests psychométriques. Il est également possible, se faire accompagner par un ou une professionnel(le) de l’orientation qui pourra vous aider à mieux vous comprendre, pour mieux vous aider à vous orienter dans votre vie professionnelle, mais aussi personnelle.

Vous l’aurez compris, apprendre à bien se connaître, ce n’est pas un sprint, mais un marathon !

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épisode proposé par Océane Tartarin

L’année de Charlotte en Terminale touche à sa fin. Les résultats de Parcoursup sont tombés, les épreuves finale du bac sont dans les prochains jours.

Ecoutez Charlotte répondre aux questions de Perrine, sa maman. Elle livre des conseils, ses ressentis…

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Dans cet épisode partenaire dans le thème ENQUÊTE D’ORIENTATION, Charlotte a interviewé Marina Barreau, fondatrice de TADAM.

L’association TADAM aide les jeunes à mieux se connaître, à prendre confiance en eux et à révéler leurs talents.  

Leur méthode unique, inspirée des neurosciences et enrichie de l’expérience des fondateurs, leur a permis d’impacter depuis 2013 plus de 5 000 jeunes. Les activités proposées sont ludiques et mobilisent l’intelligence logique, émotionnelle, relationnelle et corporelle.  

TADAM concoit, organise et anime :  

– Des séjours pendant les vacances scolaires 

– Des ateliers en établissement scolaire 

– Des formations pour permettre aux enseignants et autres professionnels de l’éducation de s’approprier nos outils et notre méthode.

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Dans cet épisode nous vous présentons les études pour devenir infirmière… ou infirmier, car la profession évolue. Vous découvrirez le contenu de ces études, comment y accéder et les compétences requises pour réussir.

Que l’on souhaite pratiquer en libéral ou à l’hôpital, les études se font en 3 ans au sein d’un institut de formation de soins infirmiers (IFSI) qui prépare au Diplôme d’Etat d’infirmier.

Il existe plus de 300 IFSI, la plupart sont publics, certains privés et les frais de scolarité varient selon le type d’établissement et la région. Une fois admis en IFSI, les étudiants bénéficient du statut d’étudiant et obtiennent un diplôme ayant grade de Licence.

Qu’apprend-on durant ces 3 années d’études ?

Les études sont à la fois théoriques et pratiques et nécessitent beaucoup d’autonomie, de travail personnel et une grande faculté d’adaptation.

50 % du temps est consacré aux enseignements théoriques, sous la forme de cours magistraux et de Travaux Dirigés dans différentes disciplines : les sciences humaines, sociales et le droit, les sciences biologiques et médicales, les sciences et techniques infirmières, auxquelles s’ajoutent de l’anglais et de l’informatique.

L’autre moitié des études est consacrée aux stages. Effectués dans différentes spécialités et structures, ces stages sont obligatoires dès la première année. Un élève infirmier passe autant d’heures en stage qu’en cours durant ses études.

Des études en alternance sont également possibles.

Enfin les élèves doivent rendre et soutenir un mémoire en 3e année, fruit de leur travail personnel.

Comment entre-t-on dans ces Instituts ?

L’accès se fait via Parcoursup, après un Bac général ou ST2S (sciences et technologies de la santé et du social).

La sélection est faite sur dossier et seuls 5 des 10 vœux autorisés sur Parcoursup peuvent être utilisés pour candidater en IFSI. Mais il s’agit de vœux groupés, ce qui signifie que pour chaque vœu, le candidat peut sélectionner autant d’Instituts qu’il le souhaite.

L’accès au IFSI est aussi ouvert aux étudiants ayant validé leur 1ère année PASS ou LAS 1 selon des modalités fixées par chaque établissement.Ainsi, les études pour devenir infirmière sont des études courtes réalisées dans des Instituts de formation de soins infirmiers (IFSI). Elles sont exigeantes et sélectives mais passionnantes et garantissent un emploi car le métier est en forte croissance. Le nombre de places en IFSI devrait d’ailleurs augmenter dans les prochaines années.

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épisode proposé par Marina Ribadeau Dumas

Stress, déception, sentiment d’échec, l’orientation est le plus souvent associée à des émotions négatives. Pourtant choisir son avenir devrait être un moment excitant qui rapproche parents et lycéens.

Pour vous aider à y parvenir, Azimut vous parle dans cet épisode d’orientation positive.

En matière d’orientation que constatons-nous ?

Les discours sur l’orientation se focalisent sur les notes et les classements des écoles. Cela a deux conséquences selon le profil des jeunes.

–   Les très bons élèves se sentent obligés de viser le top 10, sans s’interroger sur leurs motivations réelles. Ils font ce qu’ils doivent faire, ce que l’on attend d’eux.

–   Les élèves moins brillants quant à eux ne pensent qu’en termes de portes qui se ferment : « je n’ai pas le niveau en maths », « je n’ai pas gardé la bonne spé »…, « pas la bonne mention »…  Ils font ce qu’ils peuvent faire, ce qu’on leur permet de faire.

Dans les deux cas ils ne choisissent pas vraiment. A 17-18 ans, l’âge de tous les possibles, ils mettent tous leurs rêves en sourdine et cherchent dans quelle case ils peuvent/doivent rentrer.

Pourtant, rappelons-le, les études ne sont pas une fin en soi, elles ne sont qu’un moyen d’atteindre leurs objectifs.

C’est là que l’orientation positive peut changer la donne.

Qu’est-ce que l’orientation positive ?

Ce terme, popularisé en France par la spécialiste de l’orientation Isabelle Servant, applique à l’orientation les apports de la psychologie positive.

Cette nouvelle branche de la psychologie s’intéresse aux gens heureux. Elle étudie scientifiquement comment fonctionnent les personnes qui réussissent tout en étant épanouis.

Quelles leçons tirer de l’orientation positive ?

-Aider les jeunes à se connaitre, à avoir confiance en leurs capacités même si elles ne semblent pas rentrer dans les cases.

– Les inciter à choisir leur formation en fonction de leurs besoins et de leurs envies. C’est ce qui garantit qu’ils s’y épanouiront mais aussi qu’ils y performeront.

– Parler de pistes d’orientation plutôt que de voie unique. Leur montrer qu’il existe toujours plusieurs options pour rebondir, c’est les préparer à surmonter les obstacles qu’ils peuvent rencontrer.

Pour résumer, la prochaine fois que vous parlerez d’orientation avec votre enfant :

–   au lieu de penser à ce qui lui manque, valorisez ce qu’il a

–   encouragez-le à cerner et exprimer ses besoins

–   rassurez-le en lui disant que toute sa vie ne se joue pas sur ce choix

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épisode proposé par Marina Ribadeau Dumas

Il s’agit d’une nouvelle phase pour accéder à l’enseignement supérieur. Elle permet aux candidats de formuler de nouveaux vœux dans des formations disposant de places disponibles. 

Pour l’année 2023, elle sera ouverte du 15 juin au 14 septembre à 23h59 (heure de Paris)

Qui peut candidater en phase complémentaire ?

Tous les candidats qui le souhaitent peuvent participer à la phase complémentaire : les élèves de terminale mais aussi les étudiants qui veulent se réorienter en intégrant une nouvelle formation en 1ère année.

Elle s’adresse principalement à :

–    ceux qui n’ont pas encore reçu de proposition d’admission

–    ceux qui n’ont pas confirmé de vœux à l’étape 2

–    ceux qui ne se sont pas du tout inscrits sur Parcoursup, dans ce cas ils devront donc préalablement procéder à leur inscription

Sachez aussi que même les candidats qui ont déjà accepté une proposition d’admission en phase principale peuvent participer.

Voyons maintenant les vœux

À partir de l’ouverture de la phase complémentaire; vous pourrez formuler jusqu’à 10 nouveaux voeux parmi les formations encore disponibles. Notez qu’il ne sera pas possible d’ajouter des sous-vœux.   

Puis les formations seront actualisées au fur et à mesure que des places se libèrent, nous vous recommandons donc de consulter régulièrement le moteur de recherche des formations.   

Évidemment, vous ne pourrez pas sélectionner une formation déjà demandée lors de la première phase !

En pratique : voici comment formuler vos vœux 

–    Rendez vous sur la plateforme Parcoursup

Si vous avez déjà participé à la phase principale, connectez-vous à votre dossier. 

Si vous n’avez pas encore de dossier, commencez par vous inscrire.

–    Et ensuite accédez à la page « Mes Vœux » et rendez-vous dans l’onglet « Vœux en phase complémentaire »

–    En cliquant sur « ajouter un vœu » vous accéderez au moteur de recherche des formations disponibles en phase complémentaire

Pour terminer : quelques conseils

1) Anticipez et faites-vous aider ! Vous pouvez dès maintenant contacter votre lycée, un CIO ou un conseiller d’orientation libéral pour envisager d’autres choix de formation.

2) Prenez le temps de consulter en détail la fiche de chaque formation : vous y trouverez l’essentiel des informations utiles, notamment le contenu des enseignements, les attendus et les débouchés.

Et puis n’hésitez pas à vous rendre sur les sites internet ou à contacter la formation : les coordonnées sont indiquées sur la page.

3) Élargissez la zone géographique : vous ne pouvez pas sélectionner une formation dans un établissement déjà demandé en phase principale, mais vous pouvez choisir une formation similaire dans un autre établissement, ou une autre académie.

4) Rédigez votre Projet de Formation motivé avec soin

5) Soyez réactif : vous n’avez que quelques jours pour répondre à une proposition d’admission et plus les semaines passent, plus le délai est court. Surveillez donc vos messages tous les jours !

6) Enfin, si vous n’avez toujours que des réponses négatives, vous pourrez aussi solliciter un accompagnement personnalisé de la CAES, Commission d’Accès à Enseignement Supérieur.

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épisode proposé par Nathalie Mathé

Dans cet épisode nous allons vous présenter les formations qui recrutent hors Parcoursup. 

Bien que la majorité des formations utilisent la plateforme, d’autres ont fait le choix de sélectionner leurs élèves en direct. Elles ne sont donc pas tenues par le calendrier Parcoursup et recrutent tout au long de l’année : certaines dès le mois d’octobre et la majorité dès le mois de janvier et jusqu’à l’été.

Pour qui ?

Tous les candidats peuvent postuler et vous êtes particulièrement concerné :

–    Si vous avez raté la première phase de Parcoursup parce que vous n’avez pas respecté les dates butoir ou parce que vous ne vous êtes pas inscrit du tout

–    Si vous ne recevez aucune proposition d’admission

Quels types de formations pouvez-vous trouver 

Il en existe de Bac+2 à Bac+5, en rythme initial ou bien en apprentissage.

La plupart des filières d’études sont concernées.

Voici quelques exemples mais ce n’est pas exhaustif. Vous trouverez :

–    Des PREPAS aux concours des écoles d’ingénieur et de commerce

–    Des Ecoles de Commerce généralistes mais aussi des écoles de commerce spécialisées (par exemple dans le management du sport), de Bac+3 à Bac+5

–    Des formations en comptabilité

–    Des Bachelors d’écoles d’ingénieur

Mais aussi des écoles spécialisées dans d’autres domaines très variés  

–    Communication, marketing digital ou journalisme

–    Hôtellerie restauration et tourisme

–    Sciences politiques & relations internationales

–    Environnement et économie solidaire

Et enfin dans les Domaines Artistiques tels que la mode, le design ou l’audiovisuel …

Voyons maintenant le mode de sélection  

–    Le plus fréquent est le dépôt de dossier en ligne sur le site de l’école

Les pièces que vous devrez fournir seront en général vos bulletins scolaires ainsi qu’une lettre de motivation. On vous demandera parfois d’ajouter un CV, de remplir un questionnaire ou de fournir une lettre de recommandation.

Passé cette 1ère étape, si vous êtes admissible vous serez en général convoqué à un entretien oral de motivation, parfois complété par un oral d’anglais.

–    Il existe également des sessions de concours organisées jusqu’au mois de juillet voire jusqu’en aout ou septembre pour certaines écoles. Dans ce cas les modalités sont spécifiques à chaque école.  

Comment vous renseigner :

Vous pouvez par exemple consulter un conseiller spécialisé en orientation scolaire ou vous rendre dans les CIO (centre d’information et d’orientation) : ils vous aideront à identifier les formations correspondant à votre profil et à vos motivations. 

Ensuite quand vous aurez identifié des écoles correspondant à votre projet, rendez vous sur leur site internet, assistez aux Journées Portes Ouvertes et n’hésitez pas à solliciter un rendez-vous auprès du service des admissions.

Bonne écoute! N’oubliez pas de vous abonner.

épisode proposé par Nathalie Mathé