Dans cet épisode nous vous présentons un outil à connaitre pour se renseigner sur les formations. Il s’agit du site Opendata proposé par le ministère de l’enseignement supérieur. 

Un autre épisode vous explique les données à travers la lecture d’un exemple.

Ce site internet ou plutôt cette plateforme ministérielle est une véritable pépite car elle permet d’explorer toutes les données (ou open datas) sur les vœux de poursuite d’études et de réorientation dans l’enseignement supérieur et les réponses des établissements via la plateforme Parcoursup, et ce pour les 3 dernières années.

Cette plateforme existe depuis 2015 et elle a été créée pour faciliter l’accès des données du Ministère de l’enseignement supérieur aux citoyens, chercheurs, étudiants, journalistes, développeurs, entreprises, et conseillers d’orientation scolaire.

En clair, pour chaque formation, vous avez tout une série d’informations comme :

📌 le nombre de candidats ayant confirmé le vœu

📌 le nombre de candidats qui ont reçu une proposition d’admission (en phase principale PP, et en phase complémentaire PP)

📌 le rang du dernier appelé

📌 la vitesse de remplissage de la formation (pendant 3 mois)

📌 le % de femmes

📌 le % de néo-bacheliers

📌 le type de bac

📌 le % de mentions

📌 le % de boursiers

📌 leur origine académique

Vous l’avez compris, cette plateforme permet d’observer pour chaque formation et pour chaque établissement d’accueil :
· la demande et la satisfaction de celle-ci,
· le profil des candidats et celui des admis
· ainsi que d’autres résultats à la fin du processus d’affectation.

Nous vous conseillons vivement d’aller y faire un tour et de découvrir par vous même toutes les infos qui vous seront utiles pour appréhender avec patience et confiance la phase d’admission de Parcoursup et plus généralement pour être bien informé en amont sur les formations que vous visez.

Bonne écoute! N’oubliez pas de vous abonner.

Cet épisode est proposé par Meriem Draman

Anais partage son retour d’expérience sur sa première année d’études en Licence STAPS.

Un témoignage sincère et des conseils précieux pour les futurs étudiants rendu possible par le programme INSPIRE de l’association ARTICLE 1 et leurs étudiants éclaireurs qui sont là pour partager leur expérience avec les lycéens.

Pour en savoir plus sur la licence STAPS, c’est par ici.

Bonne écoute!

Il ne reste plus que quelques semaines à patienter avant la phase tant attendue des admissions de Parcoursup.  La tension monte au sein des familles !!! 

Et vous, chers parents, vous vous demandez certainement comment aider votre enfant à faire le meilleur choix possible sans stress ni précipitations.

Comment aider votre enfant à vivre sereinement la phase d’admission de Parcoursup et faire le meilleur choix ?

A partir du 2 juin prochain, les candidats Parcoursup, vos enfants commenceront à recevoir les premières réponses concernant leurs vœux de formations. Qu’ils soient en terminale ou étudiants en réorientation, la phase d’admission principale de Parcoursup 2022 s’étalera ensuite pour eux jusqu’au vendredi 15 juillet. Chaque jour de nouveaux choix apparaîtront à un rythme précis qui s’accélèrera au fil des jours et vos enfants auront à choisir entre plusieurs propositions de formation !

Une période angoissante pour les jeunes et leurs familles. Faire un choix est anxiogène car nous avons tous peur de nous tromper. Alors comment pouvez-vous aider votre enfant à éviter le stress à l’heure du choix ? Comment l’aider à faire le meilleur choix ? Afin d’éviter panique et précipitations, les experts du podcast Azimut vous donnent quelques conseils pour vivre le plus sereinement possible cette phase d’admission. Des conseils qui peuvent se résumer en deux mots : prendre son temps et anticiper.

Pendant cette période d’attente, invitez votre enfant à prendre le temps de réfléchir à ses choix prioritaires. Demandez-lui de hiérarchiser ses vœux dès maintenant afin qu’il soit en mesure de choisir sans se précipiter dans le timing défini par Parcoursup. Comment s’y prendre pour hiérarchiser ses vœux ?

Votre enfant a peut-être déjà des préférences et dans ce cas la hiérarchisation de ses choix sera facile. Toutefois, si ce n’est pas le cas, plusieurs aspects peuvent être pris en compte :

Tout d’abord, il est important que votre enfant soit au clair avec le contenu de chaque formation et en vérifie la cohérence avec son projet professionnel. Pour cela, il peut consulter le site internet des formations choisies mais aussi se renseigner auprès des étudiants qui les suivent. Chaque formation dispose d’étudiants référents qui seront ravis de le renseigner.

La garantie d’emploi à la sortie de la formation et la possibilité de poursuite d’études peuvent être aussi évaluer par votre enfant.

Tout comme la situation géographique de l’établissement et la ville où se situe la formation. Votre enfant souhaite-t-il rester proche du domicile familial ou a-t-il envie d’être plus autonome et vivre loin de vous ? La ville est-elle agréable à vivre ? Encouragez-le à se renseigner sur la vie étudiante. Est-elle dynamique ou plutôt calme ? Qu’en disent les anciens élèves ?

Le cadre de la formation est aussi un aspect à prendre en compte. Pour réussir dans ses études, votre enfant a-t-il besoin d’un cadre de formation strict ou au contraire plus de liberté ?

A ce stade, il est primordial d’appréhender entre vous la partie financière, le coût de la formation pouvant être un critère décisif. Chaque année, il arrive que des jeunes fassent leur choix sur Parcoursup mais qu’au moment de l’inscription les parents non avertis tombent des nues concernant le prix et remettent en cause ce choix ! C’est bien dommage à ce stade du processus!

Pour réaliser ce travail de hiérarchisation des choix, proposez à votre enfant de noter les plus et les moins de chaque formation sur une feuille, de faire sa hiérarchie et de vous la présenter oralement ce qui lui permettra de se l’approprier.

Ce choix ainsi fait quand arriveront les premières réponses de Parcoursup votre enfant aura tous les éléments en main pour faire le meilleur choix. Bien réfléchir à ses choix prioritaires dès maintenant permet de réduire considérablement le stress de cette dernière phase de Parcoursup et d’éviter les erreurs dues à la panique et la précipitation.

Bonne écoute! N’oubliez pas de vous abonner.

Cet épisode est proposé par Peggy Velasquez.

Dans cet épisode nous répondons à la question : Comment devient-on architecte en France ?

On se demande souvent s’il faut savoir dessiner pour devenir architecte, ou encore s’il faut être fort en mathématiques. Et combien d’années d’études faut-il pour devenir architecte ? 

Nous allons vous expliquer comment se déroulent les études d’architecture en France.

Bonne écoute! N’oubliez pas de vous abonner.

Cet épisode est proposé par Sybille JOB

Nous vous proposons d’écouter le surprenant discours d’un groupe d’étudiants  d’AgroParisTech 2022 lors de leur soirée de remise des diplômes.

Ils se surnomment « Les agros qui bifurquent ». Source Youtube

Voici le script de leur discours :

« Les diplômé.es de 2022 sont aujourd’hui réuni.es une dernière fois après trois ou quatre années à AgroParisTech.
Nous sommes plusieurs à ne pas vouloir faire mine d’être fières et méritantes d’obtenir ce diplôme à l’issue d’une formation qui pousse globalement à participer aux ravages sociaux et écologiques en cours.

Nous ne nous considérons pas comme les « Talents d’une planète soutenable ».
Nous ne voyons pas les ravages écologiques et sociaux comme des « enjeux » ou des « défis » auxquels nous devrions trouver des « solutions » en tant qu’ingénieures.
Nous ne croyons pas que nous avons besoin de « toutes les agricultures ».
Nous voyons plutôt que l’agro-industrie mène une guerre au vivant et à la paysannerie partout sur terre.
Nous ne voyons pas les sciences et techniques comme neutres et apolitiques.
Nous pensons que l’innovation technologique ou les start-up ne sauveront rien d’autre que le capitalisme.
Nous ne croyons ni au développement durable, ni à la croissance verte
Ni à la « transition écologique », une expression qui sous-entend que la société pourra devenir soutenable sans qu’on se débarrasse de l’ordre social dominant.

AgroParisTech forme chaque année des centaines d’élèves à travailler pour l’industrie de diverses manières:
Trafiquer en labo des plantes pour des multinationales qui asservissent toujours plus les agricultrices et les agriculteurs
Concevoir des plats préparés et des chimiothérapies pour soigner ensuite les malades causées,
Inventer des labels « bonne conscience » pour permettre aux cadres de se croire héroïques en mangeant mieux que les autres,
Développer des énergies dites « vertes » qui permettent d’accélérer la numérisation de la société tout en polluant et en exploitant à l’autre bout du monde,
Pondre des rapports RSE [Responsabilité Sociale et Environnementale] d’autant plus longs et délirants que les crimes qu’ils masquent sont scandaleux,
Ou encore compter des grenouilles et des papillons pour que les bétonneurs puissent les faire disparaitre légalement,
À nos yeux, ces jobs sont destructeurs et les choisir c’est nuire en servant les intérêts de quelques uns.

Si notre cursus à AgroParisTech nous a mis en avant ces débouchés, on ne nous a jamais parlé des diplômé.es qui considèrent que ces métiers font davantage partie des problèmes que des solutions et qui ont fait le choix de déserter.

Nous nous adressons à celles et ceux qui doutent,

A vous qui avez accepté un boulot parce qu' »il faut bien une première expérience »,
A vous dont les proches travaillent à perpétuer le système capitaliste,
Et qui sentez le poids de leur regard sur vos choix professionnels,

A vous qui, assises derrière un bureau, regardons par la fenêtre en rêvant d’espace et de liberté,
Vous qui prenez le TGV tous les week-ends, en quête d’un bien-être jamais trouvé,

A vous qui sentez un malaise monter sans pouvoir le nommer,
Qui trouvez souvent que ce monde est fou,
Qui avez envie de faire quelque chose mais ne savez pas trop quoi,
Ou qui espérez changer les choses de l’intérieur et n’y croyez déjà plus vraiment,

Nous avons douté, et nous doutons parfois encore. Mais nous avons décidé de chercher d’autres voies, de refuser de servir ce système et de construire nos propres chemins.

Comment est-ce que ça a commencé ?

Nous avons rencontré des gens qui luttaient et nous les avons suivis sur leurs terrains de lutte. Ils nous ont fait voir l’envers des projets qu’on aurait pu mener en tant qu’ingénieur.e.s.
Je pense à Cristiana et Emmanuel, qui voient le béton couler sur leurs terres du plateau de Saclay,
Ou à ce trou desséché, compensation dérisoire à une mare pleine de tritons,
Et à Nico, qui voit de sa tour d’immeuble les jardins populaires de son enfance rasé pour la construction d’un écoquartier.

Ici et là, nous avons rencontré des personnes qui expérimentent d’autres modes de vies,
qui se réapproprient des savoirs et savoirs-faire pour ne plus dépendre du monopole d’industries polluantes,
Des personnes qui comprennent leur territoire pour vivre avec lui sans l’épuiser,
Qui luttent activement contre des projets nuisibles
Qui pratiquent au quotidien une écologie populaire, décoloniale et féministe,
Qui retrouvent le temps de vivre bien et de prendre soin les uns les unes des autres,

Toutes ces rencontres nous ont inspirées pour imaginer nos propres voies:

Je prépare une installation en apiculture dans le dauphiné.
J’habite depuis deux ans à la ZAD de Notre Dame des Landes où je fais de l’agriculture collective et vivrière, entre autres choses
J’ai rejoint le mouvement des Soulèvements de la terre pour lutter contre l’accaparement et la bétonisation des terres agricoles à travers la France.
Je vis à la montagne où j’ai fait un boulot saisonnier et je me lance dans le dessin.
Je m’installe en collectif dans le Tarn, sur une ferme Terres de Liens, avec 4 autres maraîchers, un céréalier et 3 brasseurs.
Je m’engage contre le nucléaire.
Je me forme aujourd’hui pour m’installer demain et travailler de mes mains.

Nous sommes persuadées que ces façons de vivre nous rendront plus heureuses, plus fortes, et plus épanouies.
Nous voulons pouvoir nous regarder en face demain et soutenir le regard de nos enfants.

Vous avez peur de faire un pas de côté parce qu’il ne ferait pas bien sur votre CV?
De vous éloigner de votre famille et de votre réseau?
De vous priver de la reconnaissance que vous vaudrait une carrière d’ingé agro?

Mais quelle vie voulons-nous ?
Un patron cynique, un salaire qui permet de prendre l’avion, un emprunt sur 30 ans pour un pavillon, tout juste 5 semaines par an pour souffler dans un gîte insolite, un SUV électrique, un fairphone et une carte de fidélité à la Biocoop ?
Et puis.. un burn-out à quarante ans ?

Ne perdons pas notre temps!
Et surtout ne laissons pas filer cette énergie qui bout quelque part en nous !
Désertons avant d’être coincés par des obligations financières
N’attendons pas que nos mômes nous réclament des sous pour faire du shopping dans le métavers, parce que nous aurons manqué de temps pour les faire rêver à autre chose
N’attendons pas d’être incapable d’autre chose qu’une pseudo-reconversion dans le même taf, mais repeint en vert.
N’attendons pas le 12ème rapport du GIEC qui démontrera que les États et les multinationales n’ont jamais fait qu’aggraver les problèmes et qui placera ses derniers espoirs dans les révoltes populaires.

Vous pouvez bifurquer maintenant.
Commencer une formation de paysan-boulanger,
Partir pour quelques mois de wwoofing,
Participer à un chantier dans une ZAD ou ailleurs,
Rejoindre un week-end de lutte avec les Soulèvements de la Terre,
S’investir dans un atelier de vélo participatif?
Ca peut commencer comme ça.

A vous de trouver vos manières de bifurquer. »

Plus d’infos sur AgroParisTech

Bonne écoute! N’oubliez pas de vous abonner.

La seconde étape de Parcoursup permettant aux candidats de finaliser leur dossier et de confirmer leurs vœux s’est achevée vendredi 8 avril 2022 : au total, 936 000 candidats ont confirmé au moins un vœu d’orientation dans l’enseignement supérieur, soit une légère augmentation par rapport à l’année dernière (+ 0,6%). 

Cet épisode vous informe sur données principales en matière de voeux exprimés.

Sources

Ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports

Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation 

Parmi ces candidats, les plus nombreux sont les lycéens préparant le baccalauréat français (scolarisés en France et à l’étranger) : ils sont 622 000, un chiffre en légère baisse par rapport à 2021 (- 2 %). On compte également 186 000 étudiants qui souhaitent se réorienter en première année ou qui formulent des vœux par précaution en attendant leurs résultats de fin d’année (+ 2 % par rapport à 2021).

Enfin, parmi les autres candidats, on retrouve 95 000 candidats ayant un projet de reprise d’études, dont 57 000 se sont également intéressés à l’offre de formation professionnelle proposée via le module Parcours+, et 33 000 candidats ayant une scolarité à l’étranger (hors lycées français à l’étranger).

Dans leur ensemble, les candidats ont formulé près de 11,6 millions de vœux et sous-vœux pour des formations sous statut étudiant (soit une augmentation de 0,8 % par rapport à 2021). Quant aux formations en apprentissage, plus nombreuses à être proposées sur la plateforme (7 500 contre 5 900 en 2021), leur attractivité se poursuit : 191 000 candidats ont déjà formulé plus de 904 000 vœux pour ces formations.

L’examen des candidatures par les formations de l’enseignement supérieur est en cours. Les candidats pourront consulter, dans leur dossier, les réponses des formations à compter du 2 juin 2022.

Focus sur les lycéens scolarisés en France (note flash du SIES)

Le service statistique du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (SIES) a publié une note de synthèse analysant les vœux d’orientation vers l’enseignement supérieur formulés par les lycéens scolarisés en France et dont les principaux enseignements sont :

Parmi les 627 000 élèves de terminale scolarisés en France en 2022 et inscrits sur Parcoursup, 96,7 % ont confirmé au moins un vœu en phase principale (hors formations en apprentissage). Cette part est équivalente à l’année 2021. Cependant, le nombre d’élèves de terminale inscrits sur Parcoursup diminue de 2,2 % par rapport à l’année dernière, soit 14 000 candidats en moins, alors que les effectifs d’élèves en terminale sont stables (- 0,3 %). Cette baisse concerne particulièrement la série professionnelle (- 7,5 %). Cette évolution est expliquée, en grande partie, par la baisse de l’effectif des élèves de terminale professionnelle et par la plus grande proportion des terminales professionnelles qui ne demandent que des formations en apprentissage.


La hiérarchie des formations dans les listes de vœux est identique à l’année dernière. La licence représente en moyenne 35 % des vœux des listes (y compris 4 % de vœux en LAS), les CPGE (6 %), les diplômes d’État du secteur sanitaire et social (6 %) et les PASS (4 %). La part du nombre de vœux en licence a augmenté de 1,9 point entre 2021 et 2022.
La licence et les BTS sont les deux formations les plus demandées : près de sept candidats sur dix confirment au moins un vœu en licence (hors LAS) et près de la moitié en BTS.
Les terminales technologiques demandent plus souvent les BUT et moins souvent les BTS qu’en 2021.


La réforme du 1er cycle des études de santé conduit à une évolution des vœux dans ces filières.
Alors que la part des candidats boursiers (26 %) est la même qu’en 2021, la part de ceux ayant confirmé au moins un vœu hors de l’académie (67 %) connait une légère hausse de 1 point.

Bonne écoute! N’oubliez pas de vous abonner.

Dans cet épisode nous  répondons à la question : Comment remplacer une croyance limitante par une croyance facilitante ?

Nous allons vous expliquer comment choisir de nouvelles croyances pour vivre pleinement ce à quoi l’individu aspire pour son futur.

Cet épisode est destiné aux parents de lycéens, dans l’optique de les aider à identifier les croyances limitantes de leur enfant et les aider à les transformer en croyances facilitantes.

Bonne écoute! N’oubliez pas de vous abonner.

Cet épisode est proposé par Nathalie COLLIN

Dans cet épisode nous  répondons à la question : Comment identifier les croyances limitantes pour les transformer ?

Dans un autre épisode de ce thème, nous avons vu que les croyances limitantes étaient perçues comme des vérités indiscutables, bien qu’elles soient négatives et un frein à notre bien-être.

Cet épisode est destiné aux parents de lycéens, dans l’optique de les aider à identifier les croyances limitantes de leur enfant et les aider à les transformer en croyances facilitantes.

Bonne écoute! N’oubliez pas de vous abonner.

Cet épisode est proposé par Nathalie COLLIN

Dans cet épisode nous  répondons à la question : Que sont les croyances limitantes ?

Nous les définissons et expliquons leur impact sur la vie des lycéens.

Cet épisode est destiné aux parents de lycéens, dans l’optique de les aider à identifier les croyances limitantes de leur enfant et les aider à les transformer en croyances facilitantes.

Bonne écoute! N’oubliez pas de vous abonner.

Cet épisode est proposé par Nathalie COLLIN

Demain débuteront les épreuves de spécialités du baccalauréat en Terminale. Nous pensons bien aux 523 199 candidats et détaillons dans cet épisodes quelques informations sur les sujets, les corrections et la répartition des candidats.

Les autres épisodes de ce podcast sur les spécialités :

Sciences économiques et sociales

Mathématiques

Sciences de l’ingénieur

Sciences de la Vie et de la Terre

Physique Chimie

le Site Horizons 21


ENSEIGNEMENTS DE SPÉCIALITÉ AU BACCALAURÉAT – SESSION 2022

Après deux années perturbées par la crise sanitaire, les épreuves écrites terminales des enseignements de spécialité (EDS) se dérouleront pour la première fois : 

–       Les 11, 12 et 13 mai pour la métropole, La Réunion, Antilles-Guyane ;

–       Les 18, 19 et 20 mai pour Mayotte.

Selon les spécialités, ces épreuves sont complétées par des épreuves orales ou d’évaluation des compétences expérimentales.

Les candidats du réseau de l’enseignement français à l’étranger composeront sur ces mêmes dates pour cette session.

EFFECTIFS

523 199 candidats présenteront les épreuves des enseignements de spécialité en France (dont 7 762 candidats individuels) répartis sur les deux voies :

–       Voie générale : 381 221 candidats ;

–       Voie technologique : 141 978 candidats.

SUJETS

Chaque candidat est convoqué sur deux journées (un jour par épreuve) aux deux épreuves correspondant chacune à une spécialité de sa formation. Les sujets sont conformes au programme limitatif de chaque discipline et aux attendus de la classe de terminale. Au regard du contexte, de nouveau perturbé cette année par la situation sanitaire, les sujets de spécialité de cette session sont aménagés afin que les candidats puissent disposer d’un choix de questions ou d’exercices. 

CONVOCATION

Tous les candidats et correcteurs ont été convoqués à la mi-avril par les services académiques de rattachement.

Il est recommandé et mentionné sur les convocations des candidats de se présenter dans le centre d’épreuve 30 minutes avant le début de l’épreuve. Au-delà, de l’heure de début d’épreuve, seul le chef de centre, peut autoriser, à titre exceptionnel, l’accès à la salle de composition, sans temps supplémentaire.

CORRECTION

La correction est dématérialisée, pour toutes les épreuves. L’organisation des corrections se décompose en 3 temps :

–        En amont, les commissions d’entente des correcteurs permettent d’expliciter et d’échanger sur les recommandations de correction spécifiques à chaque discipline ;

–        Pendant la période de correction, un accompagnement par les corps d’inspection est mis en œuvre dans toutes les académies afin de répondre aux éventuelles interrogations ou difficultés des correcteurs ;

–       Une phase d’harmonisation finale permet un traitement équitable de tous les candidats, par la réunion des correcteurs qui peuvent ainsi corriger les éventuels écarts de notation.

Les enseignants pourront disposer de 4 demi-journées pour les corrections. Ce forfait sera utilisable, au choix du professeur après accord du chef d’établissement, entre le 17 mai et le 3 juin.

Source : https://www.education.gouv.fr/

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