Un phénomène qui, s’il part d’une bonne intention peut entraîner des conséquences psychologiques et sociales pour l’enfant… Alors, êtes-vous un hyperparent ? Intéressons-nous tout d’abord au terme forcément ambigu tant le préfixe « hyper » est tantôt associé a des qualités : « hyper cool », « hyper sympa » « hyper zen » ou tantôt assimilé à un symptôme tel «l’hyper activité ». C’est effectivement cette dualité que l’on retrouve derrière le terme d’hyperparentalité.

Rassurons-nous, l’hyperparentalité n’est pas une maladie mais une tendance éducative qui transcrit les exigences du monde actuel très centré sur la performance. Alors comment s’assurer que nos enfants grandissent dans la joie, deviennent des adultes épanouis, heureux, qu’ils réussissent dans un monde qui prône l’hyperperformance en toile de fond ? Qui plus est, en tant que parent on se remet souvent en question. « Suis-je un bon parent ? » « devrais-je en faire davantage ? » tout est une question d’équilibre.

Bruno Humbeeck, psychopédagogue à l’université de Mons, utilise trois images pour illustrer l’hyper- parentalité. Ce sont les métaphores du parent-hélicoptère, du parent-drone et du parent-curling.

Regardons de plus près ces trois postures !

Le parent hélicoptère

L’image du parent hélicoptère reprend celle d’une figure paternelle ou maternelle qui tourne sans cesse au-dessus de son enfant. Des phrases de type « que fais-tu, où vas-tu » sont souvent entendues et appliquées au domaine de l’orientation « où en es-tu dans tes recherches » « quand vas-tu te renseigner : auprès de qui, avec qui ? » reviennent régulièrement. Soucieux du bonheur et de la réussite de son enfant, ce parent invite son ado à explorer le monde tout en restant à forte proximité, avec un souci de contrôle très marqué. En contrepartie, cette surprotection invite l’adolescent à considérer le monde extérieur comme source de danger et l’incite à rester finalement dans sa chambre devant son écran pour partir à la découverte d’un autre monde.

Le parent drône

Parlons maintenant du parent-drone qui est animé par une obsession : le souhait d’une réussite totale de son enfant. Pour lui, il est essentiel d’identifier la meilleure école, la meilleure filière, le meilleur parcours,  c’est-à-dire offrir un monde parfait à son enfant. Surinvesti dans le repérage de ce qui pourrait correspondre aux envies de son ado, le parent-drone peut également être source d’épuisement pour lui ; mais aussi pour son enfant. Face à tant de prévenance, la pression est forte pour l’adolescent qui mobilise tous ses efforts pour se montrer à la hauteur de temps de prévenance. Si le succès de l’enfant est l’objectif recherché, ce but ultime implique également qu’il réussisse à acquérir son autonomie. Or, dans ce cas de figure, l’autonomie est bridée.

Le parent curling

Enfin évoquons le parent curling, dont l’image est associée à celle des membres d’une équipe de curling qui canalisent tous leurs efforts pour préparer le terrain afin que la trajectoire de l’objet soit la meilleure possible. C’est ce que fait ce parent qui pour garantir le succès de son enfant investit beaucoup d’énergie pour contrôler le mieux possible sa trajectoire future, en évacuant tout obstacle qui pourrait obstruer ce parcours. A l’image de l’objet qui glisse sur la glace, l’enfant glisse sur une piste parfaitement entretenue. Or, les parents curling devraient « préparer l’enfant pour la route, au lieu de préparer la route pour l’enfant » comme le précise Julie Lythcott-Haims, auteur et ancienne doyenne des premières années de Stanford.

Les risques de l’hyperparentalité

In fine, dotés des meilleures intentions, ces différents types de parents garantissent-ils l’épanouissement de leur enfant ? Pas sûr ! Les adolescents qui grandissent dans un contexte d’hyper implication parentale peuvent présenter des difficultés de type : perte de confiance en soi, anxiété, conflits…  Alors, faisons-nous partie forcément de la catégorie hélicoptère, drone ou curling ? Soyons plus nuancés, ces trois catégories peuvent revêtir différentes formes et posséder diverses intensités ; l’hyperparentalité est une tendance plus ou moins affirmée selon les cas et il ne s’agit donc pas d’un diagnostic binaire qui différencierait l’hyperparent du parent normal… Mais prêtons attention peut-être à une tendance plus ou moins affirmée chez chacun de nous !

L’équilibre de la parentalité

La parentalité est un jeu d’équilibriste entre bienveillance et vigilance et ce plus particulièrement à un moment où les enjeux d’orientation sont forts. Sortir de cette tendance à l’hyperparentalité consiste probablement à reconsidérer l’objectif d’être un parent parfait d’un enfant parfait qui doit s’engager dans un parcours scolaire parfait. C’est peut-être rester un parent humble qui reste motivé sur le long terme et c’est d’autant plus capital puisque la parentalité est un engagement pris pour de longues années voire pour toute une vie… Il est donc indispensable pour cette course de fond de ne pas dépenser ses forces dès le départ, de ne pas s’épuiser en début de parcours et au contraire de mobiliser endurance et persévérance dans la durée !

Cet épisode est proposé par Nathalie MORAND

Faire le choix d’une orientation pour votre enfant est un moment crucial à double titre, puisqu’il s’agit à la fois de sélectionner un parcours d’orientation et de revivre également une étape que vous avez également franchie au cours de votre adolescence.

En fonction de votre histoire, de vos modèles, des héritages qui viennent colorer l’appartenance à une lignée professionnelle, si dans votre famille vous êtes par exemple agriculteur ou médecin de père en fils, certaines tendances, voire certains syndromes peuvent se manifester et colorer vos comportements. Vous vous reconnaîtrez peut-être dans ceux-ci :

Le syndrome d’interférence ou de réussite par procuration

Vous guidez intensément votre enfant dans une exploration de son orientation et le guidez en fonction de vos propres attentes et ambitions de parents. Vous ne faites plus la différence entre vos propres besoins de réalisation et ceux de votre enfant. Vous influencez fortement la direction des recherches d’information. Vous y consacrez du temps et de l’énergie comme s’il s’agissait de votre propre orientation

Le syndrome de la censure

Le milieu social dicte les perspectives d’orientation. Il n’est donc pas possible et donc impensable d’imaginer s’engager dans une autre voie que celle dictée par le milieu ambiant et l’entourage proche.

Le syndrome de l’autorité

Ce style autoritaire plus ou moins conscient décrit un syndrome qui incite votre enfant à se conformer à votre avis. Animé par les meilleures intentions, vous savez ce qui est juste pour lui, sélectionnez les informations qui confortent vos convictions et écartez tout ce qui est méconnu.

Le syndrome de l’indulgence

Permissif et indulgent, vous valorisez les dimensions émotionnelles de proximité et d’accord. Vous accordez une grande liberté à votre enfant pour agir selon son désir. Vous considérez que le contrôle limite le développement et percevez votre rôle essentiellement en termes de présence affective à laquelle l’enfant peut faire appel selon ses propres demandes. Cette posture limite toutefois la présence de points de repère et de méthode pour structurer une démarche d’orientation.

Le syndrome du rêve brisé

Ce syndrome conduit les enfants à ne pas tenter une orientation qui apparaît inaccessible, protégé par des parents qui ne veulent pas l’exposer à une prise de risque selon eux trop forte. Ce syndrome est souvent caractéristique des parents qui ont peur pour leurs enfants et qui sont soucieux d’incarner un rôle de protection (attention au risque de surprotection !) mais qui peuvent également ne pas écouter leurs rêves.

Alors quelle posture adopter ?

De préférence une posture de soutien :

Accompagnez, encouragez et conseillez votre enfant dans son exploration d’études et de métier, proposez lui de l’aide et du soutien dans la recherche d’informations, laissez votre ado décider afin de ne pas décider à sa place, intéressez vous à ses intérêts et talents et surtout restez optimiste par rapport à l’avenir en discours et en actes !

Et n’oubliez pas :

« Dans la vie on ne regrette que ce qu’on a pas fait ! «  Jean Cocteau

Cet épisode est proposé par Nathalie MORAND

À la question « pour préparer ton avenir à qui fais-tu confiance » les jeunes désignent souvent les adultes de leur entourage, parents et familles proches comme des personnes dignes de confiance. Vous êtes donc considéré comme un guide dans l’orientation de ses enfants, sans parfois en avoir pleinement conscience !

Les conditions d’une influence parentale effective

Trois conditions sont néanmoins nécessaires pour que cette influence parentale soit effective:

  1. des liens forts doivent être entretenus de façon constante et durable.
  2. Le parent doit être considéré comme crédible par l’adolescent sur le plan relationnel ainsi que sur le plan des connaissances, des expériences et des compétences. Pour être crédible, un parent doit être reconnu par le jeune comme apte à comprendre sa réalité, ainsi qu’à présenter un parcours de vie scolaire et professionnel qui facilite sa compréhension des réalités d’un adolescent. Cela peut se traduire par l’atteinte d’un certain niveau de scolarité ou tout simplement par des expériences et des difficultés que vous avez traversées.
  3. Enfin, le parent doit être congruent, autrement dit faîtes en sorte que votre comportement reflète votre pensée.

Apprendre à exprimer votre envie de faire équipe avec lui, faire l’effort d’entrer dans son monde, témoigner votre intérêt pour initier la meilleure compréhension mutuelle sont les fondements pour instaurer une vraie complicité et créer les conditions favorables à cette orientation co-construite.

Pour pouvoir communiquer au mieux avec votre enfant et parler d’orientation, il est important de réfléchir sur sa posture de communiquant et d’apprendre à s’écouter pour pouvoir écouter l’autre.

Les questions à se poser avant d’entamer le débat

Avant d’entamer un débat d’idées sur l’orientation avec votre ado, posez-vous les questions suivantes :

Est-ce que je crains de discuter de ce sujet parce que je ne partage pas les mêmes idées ?

Est-ce que je vais lui dire que je connais les choses mieux que lui et qu’il n’a rien à m’apprendre ?

Est-ce que je vais prendre son opinion divergente de la mienne comme un manque de respect envers qui je suis ?

Est-ce que je risque de m’énerver et d’interrompre le débat ?

Est-ce que je suis capable de reconnaître et d’accepter son point de vue ?

Est-ce que je suis capable de reconnaître qu’il a de bonnes idées et le lui dire ?

Est-ce que j’ai du plaisir à discuter avec lui ?

Fixer le rendez-vous avec votre enfant

Après ce petit tour d’introspection, vous êtes prêt à proposer à votre ado de parler d’orientation.  Vous pouvez par exemple lui proposer un rendez-vous régulier pour parler de ce thème, car il est essentiel que vous lui accordiez un temps de qualité. Trouver un lieu extérieur à votre domicile, un endroit qu’il affectionne où vous ne pourrez pas être dérangé afin de créer les conditions les plus favorables à l’échange et afin d’établir un climat de compréhension mutuelle. Vous êtes prêt et avant d’entamer le dialogue n’oubliez pas !

 « Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants, mais peu d’entre elles s’en souviennent » Antoine de Saint-Exupéry

« Grand est celui qui n’a pas perdu son cœur d’enfant  » Meng-Tsen

Cet épisode est proposé par Nathalie MORAND

Votre rendez-vous « orientation » avec votre enfant est pris et vous êtes donc prêt à parler avec lui. Afin d’établir une relation dans un climat de confiance il est important d’installer ce champ relationnel avec empathie.

S’accorder soi-même

Bien sûr vous avez pensé au contenu de votre discussion, votre objectif, l’ordre du jour, les questions mais prenez le temps d’accorder votre corps, votre voix, votre attitude comme le musicien prend le temps d’accorder l’instrument qui va s’exprimer, c’est-à-dire en l’occurrence vous, votre corps et votre voix porteurs d’informations et d’émotions.

Gardez bien en tête cette règle fondée sur des études qui mentionnent que lorsque vous vous exprimez 55% de la communication est visuelle, par l’expression du visage et du langage corporel, 38% de la communication et vocale, par l’intonation et la clarté de la voix et 7% de la communication est verbale, par la signification des mots

Le verbal et le non-verbal

Pour engager l’échange, il est à ce titre judicieux de se synchroniser volontairement « non verbalement » et « verbalement » pour créer ce climat de confiance mutuelle car implicitement, c’est dire à votre enfant je suis totalement présent, je te vois, je te reconnais et cela ne pourra que renforcer son estime de soi.

Se synchroniser au niveau non verbal ne consiste pas à mimer votre enfant car cela l’agacerait fortement, mais si votre enfant est assis asseyez-vous en face de lui s’il est debout, restez debout.  Regardez-le dans les yeux, sans toutefois le fixer avec insistance.

Prêtez ensuite attention à ce que votre ado exprime non verbalement ce qui vous donne des indications pour la conduite de votre entretien  : observez sa respiration, sa posture, les mimiques, les micromouvements de son visage , les mouvements de ses yeux ; cette qualité de présence à votre enfant facilite la communication.

Abordons maintenant la synchronisation verbale et para verbale

Synchroniser le verbal et le para-verbal

Concentrez-vous à présent sur la synchronisation verbale et para verbale. Pour y parvenir portez votre attention aux mots utilisés par votre enfant. Emploie t-il un vocabulaire visuel ? vous l’entendez souvent dire «je vois bien ce que tu veux dire… «  est-il auditif ? Dit-il « j’entends bien ce que tu dis » est-il  kinesthésique dit-il « je ressens bien ce que tu veux dire… » et parlez-lui avec un langage visuel s’il privilégie le canal visuel, avec des mots auditifs, s’il privilégie ce canal et en termes kinésiques s’il y est plus sensible. Prêtez également attention au rythme de sa voix à la tonalité, au ton privilégié et accordez-vous pour favoriser l’unisson entre vous !

Le discours

Maintenant, intéressons-nous au discours :

-N’hésitez pas à parler de votre travail pour lui permettre de partir à la rencontre de la vie professionnelle. Expliquez-lui le fonctionnement d’une entreprise, votre profession afin qu’il commence à côtoyer la réalité d’un métier.

– N’hésitez pas à valoriser les qualités de votre ado ; partagez votre perception de ses compétences, illustrez-les afin de le guider vers une meilleure connaissance de soi

– N’hésitez pas à valoriser ses efforts, ses réussites et n’oubliez pas que la valorisation souveraine c’est ce temps de qualité que vous passez avec votre ado car cela exprime « je m’intéresse à toi » !

Cet épisode est proposé par Nathalie MORAND

Votre jeune vient de déménager et a quitté le foyer familial ? Vous êtes heureux pour lui de son choix d’études et de sa nouvelle indépendance et vous souhaitez le soutenir au maximum ! Voici quelques astuces pour le rassurer, l’épauler et le réconforter.

Afin que votre jeune ne se sente pas trop déboussolé au début, prenez le temps d’aller l’installer dans son nouveau lieu de vie. Bien sûr dans la mesure du possible, si ce n’est ni trop loin ni trop cher pour vous ! Essayez de rendre son lieu de vie futur agréable par exemple en achetant des éléments de décoration et du linge de maison gai et coloré, en collant des photos de famille au mur, et en essayant de lui donner des objets qui lui rappelleront son ancienne maison.

Vous pouvez aussi lui proposer de dîner avec lui en Visio ou en appel vidéo certains soirs de la semaine. Vous pourrez ainsi vous raconter vos journées comme s’il était à la maison !

Aussi, pour qu’il prenne ses marques dans sa nouvelle ville, votre jeune doit pouvoir rencontrer rapidement des nouvelles personnes. Vous pouvez le motiver à se trouver une activité qu’il apprécie en dehors de ses études que ce soit une activité sportive, la pratique d’un instrument, ou tout autre type de loisir. Cela va lui permettre de mieux s’intégrer et de s’occuper l’esprit pour éviter toute déprime ! C’est encore mieux s’il est dans un pays étranger, car il pourra pratiquer la langue du pays et ainsi s’améliorer !

Aussi, prenez l’habitude de lui envoyer régulièrement des petits messages, mais sans nécessairement attendre une réponse de sa part. Cela lui montrera que vous pensez à lui et il sera forcément content de les recevoir !

Pour le rassurer et vous rassurer aussi, essayez dans la mesure du possible d’identifier des personnes dites « relais » dans sa ville qui pourraient le soutenir et l’aider en cas de difficultés ou d’urgence. Cela peut être des amis, des parrains, des marraines, des grands- parents, ou encore des amis d’amis qui sont sur place. Grace à cette mesure de sécurité, vous pourrez dormir plus tranquille ! Ces personnes pourront lui rendre des services, l’aider en cas d’urgence et même lui apporter des petits plats réconfortants de temps en temps.

Si vous devez être séparés pendant un certain temps, essayez de lui donner régulièrement des perspectives de retrouvailles. Parlez-lui par exemple de son retour aux prochaines vacances ou donnez-lui les dates d’un week-end où vous avez prévu de venir le voir.

Votre jeune aura ainsi toutes les occasions de se sentir bien, même loin de chez lui, de sa famille et de ses amis.

Si malgré toutes ces actions, son éloignement le rendait triste ou s’il éprouvait des difficultés dans sa nouvelle vie, vous pouvez lui proposer une aide extérieure, que ce soit celle d’un professeur particulier, d’un médecin, d’un psychologue ou encore d’un coach par exemple.

Un dernier petit conseil, pour conclure cet épisode, quand vous pourrez lui rendrez visite, pensez à avoir de petites attentions pour lui qui lui feront certainement plaisir. Vous pouvez si possible l’aider en lui faisant ses courses, son ménage, ses lessives, l’inviter au restaurant pour changer de ses repas quotidiens, ou encore l’amener faire du shopping !

Cet épisode est proposé par Valérie DENIZON

Ça y est, votre jeune part du nid pour aller s’installer de façon autonome. L’inscription administrative dans sa formation a été faite et, à présent, comme pour tout parent, la charge mentale liée à son départ commence à croître !

Avec un peu d’organisation, tout va se mettre en place facilement !

Commencez par listez les tâches à entreprendre selon les différents thèmes et notamment les papiers d’état civil et visas éventuels, la banque, la santé, les assurances.

Pour vous aider, nous allons revoir chaque thème et ce que cela peut recouvrir.

Si votre enfant part étudier à l’étranger

Tout d’abord, si votre jeune part étudier à l’étranger, organisez-vous bien à l’avance si le pays dans lequel il déménage nécessite un visa. Par exemple, pour le Canada, les visas peuvent prendre plusieurs semaines ou mois à se faire.

L’ouverture d’un compte bancaire

Si ce n’est pas déjà fait, votre jeune en prenant son indépendance aura la volonté d’ouvrir son compte bancaire personnel. Bon à savoir, de nombreuses banques offrent des primes si vous ouvrez un compte bancaire après l’obtention du baccalauréat avec une mention. C’est peut-être intéressant pour votre jeune. Disposer de deux moyens de paiement peut être utile en cas d’urgence : une carte bleue en ligne reliée à l’un de vos comptes par exemple en plus de la carte bancaire physique de votre jeune. Si en plus, votre jeune loue un appartement ou se met en colocation, il faudra ouvrir certains contrats comme ceux d’électricité, d’internet, de gaz et d’eau. Dans certains pays, il est souvent nécessaire de créer un compte en banque national pour pouvoir y avoir accès, et cela peut aussi bien souvent faciliter les démarches. Il y a aussi certains propriétaires qui refusent de louer leur appartement si vous n’avez pas de compte bancaire national.

Les documents pour la santé de votre enfant

Il vous faudra aussi s’occuper de la santé de votre jeune et vérifier qu’il est bien couvert par la sécurité sociale et une mutuelle complémentaire. S’il part étudier en Europe, il pourra faire la demande d’une carte de sécurité sociale européenne qui couvrira ses frais. Vérifiez bien que tous ses vaccins soient à jour car il n’aura pas le réflexe d’aller regarder dans son carnet de santé et s’il part loin, anticiper des rendez-vous de contrôle dentaire et ophtalmique par exemple avant son départ.

Si votre jeune commence ses études en CPGE, classe préparatoire aux grandes écoles, n’oubliez surtout pas de l’aider à faire son inscription cumulative en faculté au moment de la rentrée étudiante. C’est à présent obligatoire et cela permettra à votre jeune d’obtenir les crédits ECTS équivalents aux années passées en classe préparatoire. Cela sera indispensable si votre jeune doit finalement se réorienter.

La JDC

Si vous n’avez jamais entendu parler de la Journée défense et citoyenneté, autrement dit la JDC, c’est une journée obligatoire et qui doit être effectuée entre 16 et 25 ans. Pour pouvoir passer des examens (comme le baccalauréat, le permis de conduire, ou des concours aux grandes écoles par exemple), le certificat de participation à cette JDC peut être exigé. Vous trouverez des informations sur Service-Public.fr

Ses papiers d’identité

Les papiers d’identité de votre jeune devront aussi être à jour car il en aura besoin pour passer des concours ou des examens. Anticipez au maximum cette démarche car il est difficile d’avoir des rendez-vous et les jeunes majeurs doivent s’y rendre en personne au dépôt et au retrait de leurs demandes.

Cet épisode est proposé par Valérie DENIZON

Vous écoutez un épisode sur le thème de « comment aider votre jeune à s’installer ? ». Dans cet épisode, nous allons vous donner des pistes pour aider votre jeune à établir son budget.

Tout d’abord, il est intéressant de dresser une liste des items à considérer dans le budget de son enfant. En effet, un certain nombre de types de dépenses seront à prendre en compte.

Il va falloir ainsi considérer toutes les dépenses liées à la formation elle-même, celles liées au logement, à l’alimentation, aux déplacements, aux activités, à l’habillement, aux loisirs, à la santé et celles spécifiques, telles que les visas.

Les frais de scolarité

La part qui pourra être la plus fluctuante du budget d’un jeune dépendra du type de formation qu’il va suivre. En effet, les frais de scolarité pourront être très conséquents s’il choisit d’étudier dans une école privée versus une université publique ! Aux frais de scolarité, il faudra penser à ajouter éventuellement des frais de manuels et de fournitures scolaires ainsi qu’un budget pour équiper votre jeune étudiant d’un ordinateur, et éventuellement d’une imprimante avec les coûts importants en papier et encre qui vont avec.

Les frais de logement constitueront une autre partie conséquente du budget.

Et là aussi cela dépendra beaucoup de son choix d’études ; bien évidemment ils seront nuls si le jeune reste vivre dans sa famille et pourront être conséquents s’il doit partir en dehors du foyer familial. Aux frais de logement purs que sont les loyers à verser mensuellement, s’ajouteront bien entendu toutes les charges, que ce soit l’eau, le gaz, l’électricité mais aussi celles liées à internet, et à l’assurance du logement. Ne pas négliger les montants à verser lors de la signature d’un bail que sont en général le loyer en cours au prorata temporis, le mois de caution et les frais d’agence. De plus si le logement n’est pas meublé, il faudra penser à ajouter un budget supplémentaire pour acheter les meubles et les ustensiles afin de l’équiper.

Un autre poste auquel penser sera le budget transports.

Non seulement il faudra réfléchir à la meilleure formule de déplacement pour se rendre de son lieu de vie à son lieu d’étude mais on ne devra pas négliger non plus les frais de retour au domicile des parents si le jeune réside à l’étranger, ou dans une autre ville que celle de ses parents. L’alimentation est aussi à prendre en considération, mais au même titre que si le jeune vivait chez vous, hormis le fait que s’il vit à l’étranger ces frais peuvent être modulés à la hausse ou à la baisse (à la hausse en Suisse par exemple mais à la baisse en Espagne). Vous devrez aussi penser aux frais liés aux activités de votre jeune, qui pourront être des sorties culturelles ou sociales, ainsi que des activités sportives et des vacances. De plus, l’habillement sera aussi un poste à considérer surtout dans certains pays comme le Canada par exemple.

Enfin les derniers postes de dépenses à considérer sont ceux de la santé avec les frais de mutuelle et d’assurance ainsi que les dépenses diverses liées à certains pays telles que les frais de visas pour y entrer.

Une fois établie la liste de toutes les dépenses que vous devrez prendre en compte, vous aurez plusieurs moyens pour évaluer les montants de chacun des postes. Vous pourrez ainsi demander à des connaissances dans la ville ou le pays où partira votre jeune, quelles sont les tendances budgétaires de cet endroit. Votre jeune pourra aussi demander aux élèves des anciennes promotions quel est le coût de cette ville par rapport aux autres grandes villes ou à son pays d’origine.

Après avoir fait cette évaluation « macro » des grands postes du budget de votre jeune, vous pourrez procéder par tâtonnements. En effet, pourquoi ne pas faire un test en donnant à votre enfant un montant mensuel évalué ensemble avant le départ. Vous lui demanderez ensuite de calculer ses frais réels mensuels sur les premiers mois – et pas que sur le premier mois car en général c’est là qu’il aura le plus de dépenses – puis vous réévaluerez ce budget à la hausse ou à la baisse selon les dépenses réelles !

Réduire le budget

Enfin, il est tout-à-fait possible de trouver des solutions pour réduire le budget de votre jeune étudiant. Tout d’abord, vous pourrez vous renseigner sur les possibilités d’obtenir une bourse pour ses études. Il existe en effet plusieurs types de bourses, le plus connues sont celles qui dépendent des revenus des parents mais il y a aussi des bourses au mérite et des bourses d’excellence. En ce qui concerne le logement, les étudiants en France peuvent demander l’APL, l’aide pour le logement. Pour l’alimentation, ils peuvent bénéficier de repas à tarifs réduits dans les CROUS mais ils peuvent aussi profiter des offres disponibles sur certaines applications telles que Too Good to Go, Phénix, ou encore acheter des paniers « anti gaspi » de certaines enseignes. En plus de contribuer à éviter le gaspillage alimentaire, ces offres sont intéressantes au niveau économique et permettent aussi de varier les repas. Aussi, prendre des cartes de fidélité dans les commerces alimentaires ou dans les cinémas par exemple permet de bénéficier d’avantages et de promotions.

Enfin, si votre jeune en a la possibilité, faire des « jobs » d’étudiants tels que des baby- sittings, donner des cours, faire de l’aide aux devoirs, trouver un poste de serveur ou de vendeur, lui permettra aussi de s’autonomiser petit à petit sur certains postes budgétaires.Dans le prochain épisode nous allons vous éclairer sur les contraintes administratives à gérer pour l’installation de votre jeune.

Cet épisode est proposé par Valérie DENIZON

Votre enfant est motivé, il sait enfin où il va partir étudier ! Il connaît aussi ses préférences de types de logement entre une colocation, un studio indépendant, une résidence étudiante ou un foyer, une chambre chez l’habitant, ou encore un internat. Il doit à présent se mettre en quête de son logement. Si c’est un internat, ce sera plus facile, car lors de son inscription dans la formation visée, sa place sera réservée au moment de son inscription définitive. Mais pour les autres types de logements il faudra effectuer ses propres recherches.

La première étape est d’établir le budget qu’il pourra allouer à son logement.

Afin d’établir le budget, il sera nécessaire d’avoir une idée du coût de la vie dans sa nouvelle ville d’installation. Ce coût peut différer en fonction du pays, de la ville et de la province où il souhaite faire ses études. Vous pouvez faire des simulations sur des moteurs de recherche de logements pour estimer le prix moyen d’un studio par exemple dans une ville définie. Vous pouvez aussi contacter des agences de location d’appartements reconnues sur le marché, pour avoir une idée des prix du marché. Vous pouvez enfin contacter des personnes via des groupes de résidents et d’expatriés sur les principaux réseaux sociaux, comme Facebook par exemple, pour leur demander des conseils.

La deuxième étape sera de choisir la zone géographique où votre jeune souhaitera résider.

Cela dépendra beaucoup du type d’études qu’il fera. En CPGE, ou classe préparatoire aux grandes écoles, il sera primordial d’habiter très près de son établissement. Le temps de trajet devra être réduit au maximum pour éviter des pertes de temps et de la fatigue inutile. Essayer de trouver un logement à moins de 15 mn à pied sera l’idéal. En revanche, si le jeune dispose de plus de temps pour étudier, il pourra privilégier le fait d’habiter dans un centre- ville plus animé plutôt que d’habiter près de sa faculté à l’extérieur de la ville.

Un jeune pourra aussi vouloir habiter près du campus de son école si l’ambiance entre jeunes y est sympathique et la vie associative plus riche ! Définir un périmètre de recherches assez précis, quitte à l’élargir un peu si le budget ne permet pas de trouver dans cette zone, est donc un élément important à considérer.

Il est aussi primordial de se renseigner sur les quartiers à éviter lors de sa recherche de logements. En effet, dans toute ville, il peut y avoir de l’insécurité et il est important de le savoir à l’avance pour éviter de se retrouver dans ces quartiers. Des loyers étonnamment bas peuvent vous indiquer qu’ils se trouvent dans des zones sensibles. Vous pouvez chercher ces informations sur internet ou par exemple demander des conseils à une agence immobilière.

Une fois le budget et le périmètre définis, mettez-vous en quête du logement idéal.

Les colocations peuvent se trouver plus facilement en contactant le réseau des anciens d’une formation, essentiellement via les réseaux sociaux. En effet, des chambres peuvent se libérer et ainsi votre recherche sera facilitée. Si vous en avez le temps et le budget, vous pouvez aussi faire un voyage de prospection avec votre jeune pour aller visiter des logements grâce à un réseau d’agences sur place. Il sera recommandé d’organiser sa visite à l’avance pour maximiser le nombre d’appartements ou de résidences étudiantes visités, ceci afin d’avoir du choix. Lors d’une visite d’appartement, il est toujours intéressant de discuter avec des voisins, voire même avec l’étudiant qui se trouverait éventuellement sur place pour identifier les nuisances possibles dans et autour du logement, voire les défauts de celui-ci. Si possible, demandez à l’actuel locataire les trois qualités et les trois défauts du logement occupé. S’il est possible de l’interroger, ce sera précieux, car il aura tendance à être objectif et factuel.

Il est intéressant aussi dans le cadre d’un voyage de reconnaissance d’effectuer le trajet logement / formation pour évaluer réellement le temps de trajet et les moyens de transport les plus adéquats. Ne sous-estimez pas le coût du transport à ajouter aux frais du logement si celui-ci se trouve loin de la formation.

La signature du bail

Une fois le logement idéal trouvé, il faudra signer le contrat de bail en vérifiant bien quelles sont les charges incluses et celles qui ne le sont pas, en sachant si le logement sera meublé ou pas, et en se faisant préciser quelles sont les conditions d’annulation du contrat. En effet, attention à bien respecter les préavis de départ indiqués pour éviter les désagréments de payer inutilement des loyers ! Et sensibiliser son enfant à prendre soin de laisser le logement en bon état au risque de perdre toute la caution ou une partie.

Enfin, il est très important de faire preuve de vigilance avec les arnaques.

En effet, de nombreux cas sont signalés chaque année. Les faux sites font preuve d’ingéniosité pour imiter des sites de location connus ou pour passer de fausses annonces. De trop belles photos d’appartement ou un prix trop bas par rapport aux prix du marché doivent vous inciter à la prudence. De même que des demandes de versements anticipés de loyers et de caution avant même d’avoir pu visiter un logement doivent vous mettre la puce à l’oreille ! Le logement proposé doit ressembler à beaucoup d’autres offres dans le même quartier, au niveau du prix, de l’équipement et de sa surface, autrement le risque d’une arnaque est élevé. N’hésitez pas à aller visiter ou à demander à des personnes résidentes sur place de visiter à votre place afin d’éviter les mauvaises surprises.

Dans le prochain épisode nous allons vous donner des pistes pour aider votre jeune à établir son budget.

Cet épisode est proposé par Valérie DENIZON

Vous écoutez un épisode sur le thème de « comment aider votre jeune à s’installer ? ». Dans cet épisode nous allons aborder le sujet du choix d’un logement étudiant.

Ça y est, vous êtes tous soulagés, les résultats sont tombés et votre adolescent a trouvé la formation de ses rêves ! Une fois l’inscription administrative effectuée pour cette formation, ce qui signifie que sa place est bien réservée, il faut bien entendu se mettre en quête du logement.

En effet, il s’agit de se mettre rapidement en action, au risque d’avoir beaucoup de difficultés à trouver, surtout dans certaines villes où l’accès au logement est très tendu. Mais comment s’y prendre et comment faire son choix ?

Il faut tout d’abord définir les critères importants pour votre enfant. A ce stade, il semble nécessaire de discuter avec lui ! Comment imagine-t-il sa vie étudiante au regard de sa personnalité et du type d’études qu’il va faire ? Il existe en effet plusieurs types de logements. Nous allons décrire ici cinq solutions qui s’offrent à vous, avec leurs avantages et leurs inconvénients : la colocation, le studio indépendant, la résidence ou le foyer étudiant, la chambre chez l’habitant, et l’internat.

Tout d’abord, la colocation :

son principe est simple, on partage un même appartement ou une même maison à plusieurs. Ses avantages sont nombreux : on mutualise des pièces communes comme les pièces à vivre et la cuisine, des meubles et des objets communs ainsi que les charges, ce qui permet des économies non négligeables. On partage aussi des moments de vie tels que les repas et des moments de détente, ce qui permet d’éviter l’isolement. Bien entendu, on dispose d’une chambre individuelle pour travailler et se reposer. Toutefois ce type de logement peut ne pas convenir à tous. Il faut évidemment bien s’entendre pour savoir gérer les tours de ménage et de rangement, et avoir le même rythme de vie et de travail. Un étudiant avec une charge de travail importante aura du mal à partager un appartement avec un étudiant plus libre ! Il faudra alors s’assurer d’établir des règles de vie communes dès le départ !

On peut aussi choisir d’habiter seul dans un studio :

votre jeune se sentira plus libre et plus indépendant mais pourra peut-être souffrir de la solitude. Dîner seul et ne pas avoir de compagnie peut être difficile à supporter pour certains. Cependant, d’autres y trouveront l’intérêt d’être au calme, dans son intimité et de ne dépendre de personne.

Choisir une résidence ou un foyer étudiant

Cela peut permettre de trouver un bon compromis entre la colocation et le studio indépendant ! En effet, chacun réside dans son espace personnel avec une kitchenette et des sanitaires indépendants mais est libre de profiter d’une vie en communauté si besoin, en profitant des espaces communs qui sont proposés dans la résidence ou dans le foyer. Cela peut être une bonne alternative entre les deux ! Attention certaines résidences étudiantes ou foyers se réservent dès que les vœux sont rentrés sur Parcoursup, avant même de savoir si le jeune est pris dans cette formation, prenez donc le soin de bien vous renseigner en amont !

Une autre solution peut être de louer une chambre chez l’habitant.

L’avantage pour le jeune est de ne pas se retrouver seul et de vivre dans une infrastructure en général confortable. Il peut aussi retrouver le bénéfice d’une vie de famille, surtout si la famille d’accueil a des enfants. Il peut aussi profiter de conseils et d’un encadrement bienveillant. Les conditions financières de ce logement sont à négocier avec la famille d’accueil. En effet, il faudra bien se faire préciser ce qui est inclus dans le loyer. Certaines familles proposent la chambre seule, d’autres la demi-pension ou la pension complète, ainsi que la blanchisserie du linge et le ménage. Cependant, certaines règles de vie chez l’habitant peuvent ne pas convenir à tous : ne pas pouvoir recevoir d’invités, respecter un couvre-feu et des heures de repas ou encore être le plus discret possible peuvent être pesants pour un jeune.

Et l’internat?

Enfin, pour certaines formations, un internat peut être proposé et notamment pour les CPGE, les classes préparatoires aux grandes écoles. Il faut savoir que les internats sont proposés en priorité aux étudiants boursiers et aux jeunes qui sont mineurs lors de leur première rentrée en formation. Si cela n’est pas le cas de votre enfant, il peut toutefois se voir attribuer une place en fonction des places restantes, notamment pour les jeunes qui résideront loin de leurs familles. Certaines CPGE ne fonctionnent aussi qu’avec des promotions logées en internat. L’avantage premier de l’internat est de vivre et de développer un esprit de corps très fort dans une promotion d’étudiants. Il permet une cohésion de groupe souvent très émulatrice pour mieux vivre des études réputées difficiles. Il permet aussi bien entendu d’éviter de longs trajets en transports en commun puisque le jeune va résider sur place ou à côté de sa formation. Enfin, il permet au jeune de ne pas avoir à faire d’approvisionnement et de n’avoir aucun repas à préparer. La logistique est donc gérée pour lui, ce qui est un grand avantage : il pourra se consacrer davantage à ses études. En revanche, il faut regarder avec attention les conditions de sorties des internats. Certains élèves pourront ressentir un manque de liberté au niveau des sorties le soir. De plus, certains internats ferment pendant les week-ends et les étudiants devront rentrer alors chez eux ou trouver une autre solution pour les week-ends.

Il est intéressant de savoir aussi que certaines formations comme les CPGE proposent une solution alternative à l’internat. C’est l’internat externé. Il permet à un jeune qui préférerait habiter en studio par exemple mais qui dispose de peu de temps pour la logistique des courses et des repas, de prendre les trois repas quotidiens sur son lieu d’étude la semaine.

Cela lui permettra de concilier la liberté qu’offre un studio avec un gain de temps et moins de charge mentale la semaine. Les restaurants des CROUS permettent aussi de faire bénéficier aux étudiants des repas préparés, ce qui peut alléger leur quotidien.

Pour conclure cet épisode, il n’y a pas de solution de logement parfaite parmi ces cinq solutions, chacune a des avantages et des inconvénients !

Il s’agira d’échanger avec votre enfant pour savoir quel type de logement se prête le mieux à ses études et à son tempérament.

Cet épisode est proposé par Valérie DENIZON

La période de l’orientation des adolescents n’est pas l’étape la plus sereine dans la vie des parents et de leurs enfants.

Parfois, il est utile de se faire accompagner. C’est ce que propose QUOKKA, une association qui existe depuis 2012. Le podcast AZIMUT a tendu le micro à sa fondatrice, Florence Meyer afin de comprendre ce que propose cette association.

Quokka éveille à de nouveaux liens parents-ados (scolarité, orientation, communication). Les conflits diminuent, la confiance augmente, la scolarité est optimisée, plus autonome et l’orientation se travaille dans la joie. Les parents donnent du sens à leur rôle et les adolescents à leur avenir.

Voir le site QUOKKA

Bonne écoute!

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