Rencontrez Anne-Paule DUBOULET

Anne-Paule est orthopédagogue et coach d’orientation

Anne-Paule est membre du Collectif des Spécialistes en Orientation

Elle accompagne les jeunes pour :

  • Apprendre à apprendre, afin qu’ils mettent en place la méthode d’apprentissage qui leur convient le mieux. Les collégiens et lycéens prennent conscience des capacités qu’ils peuvent mobiliser pour être attentif, comprendre, mémoriser, réfléchir, imaginer, et communiquer leurs idées à l’écrit et à l’oral ;
  • S’orienter, afin qu’ils construisent leur projet d’orientation. Les jeunes sont acteurs de la démarche et apprennent à se connaître, à chercher, à explorer les pistes d’orientation qu’ils identifient.

Anne-Paule est ingénieure et a travaillé pendant une vingtaine d’années avant de se former au coaching et à l’orthopédagogie, et obtenir ses certifications.

Elle est HPI et a l’habitude d’accompagner des élèves précoces, dans son activité ou pour le compte de l’Afehp (Association française pour les enfants à Haut Potentiel).

Où se déroulent les accompagnements avec Anne-Paule ?

Anne-Paule intervient dans son bureau à Saint-Brieuc (Trégueux), et en visio partout ailleurs.

Pour entrer en contact avec Anne-Paule


Les épisodes proposés par Anne-Paule


C’est une difficulté ressentie par de nombreux élèves. Ils savent leur leçon, ont fait des exercices, mais sont en difficulté au moment de l’évaluation car ils ne retrouvent pas ce qu’ils ont appris. Ils ne font pas le lien entre le cours d’un côté, et l’exercice ou la question qui est posée de l’autre.

Les techniques vues précédemment pour mettre du sens sont pertinentes pour résoudre cette difficulté. S’être posé des questions, avoir créé de nouveaux liens entre les connaissances, les avoir organisées différemment, permet de se préparer à plus de questions de réflexion. Réfléchir consiste en effet à aller chercher dans ses connaissances la réponse à une question. C’est une compétence qui s’entraîne.

Pour les plus jeunes, les jeux de type « enquête policière » constituent un bon entraînement.

Un crime a été commis, et le texte qui raconte ce qui s’est passé donne des indices. L’enfant doit lire en cherchant ces indices. Par exemple : il y a des miettes sur la scène de crime, et un des personnages est tout le temps en train de manger des gâteaux. Ces jeux sont de bons exercices pour entraîner le jeune lecteur :

– à lire en ayant un objectif : il cherche des informations en lien avec ce qui est dit sur le crime. Par exemple, qu’il y a des miettes près de la victime : qu’est-ce qui peut bien faire des miettes?

– à faire des liens entre les informations. Par exemple, le lien entre les miettes et le fait de manger des gâteaux.

Pour les plus âgés, la recherche d’indices doit être anticipée dès l’apprentissage de la leçon.

Il doit chercher à quelle question répond ce qu’il est en train de lire.

En Sciences, en Histoire, il peut commencer par des questions simples. Si la leçon de SVT explique qu’il y a deux types d’éruptions volcaniques, effusive et explosive, la question de base sera : quels sont les différents types d’éruptions ? Ce sont d’ailleurs des questions que les parents posent naturellement quand ils font réviser les leçons. Ce procédé est bien plus efficace que la récitation, cela a été dit dans un précédent épisode de podcast (enfin il me semble !).

En mathématiques, pour les formules en Sciences, en latin, l’entraînement à la recherche d’indices est plus complexe. Il est également très formateur pour l’esprit. Ce n’est pas un hasard si le latin et le grec, puis les mathématiques, ont été des matières reines pour la formation et l’évaluation des élèves.

La question à se poser est : qu’est-ce qui me permet de savoir que je vais pouvoir utiliser cette formule ou cette règle ? Il s’agit de s’entraîner à repérer, dans les exercices et problèmes, les indices qui permettent de faire le lien avec une formule.

Exemple typique : en géométrie, dès qu’il y a un angle droit, l’élève doit penser au théorème de Pythagore. Des nombres comme 25 ou 36 doivent tout de suite évoquer un nombre au carré. En physique, le fait qu’une vitesse soit donnée dans un énoncé doit faire penser à toutes les formules vues en cours qui contiennent la vitesse.

L’objectif est donc d’apprendre dans les deux sens :

– quand une formule est donnée, je sais chercher les éléments qui permettent de faire

le calcul. C’est ce que la plupart des élèves savent faire.

– quand elle n’est pas donnée, je sais identifier les éléments qui permettent de deviner quelle formule je dois utiliser. Les élèves pensent moins souvent à faire cela.

Cet épisode est proposé par Anne-Paule DUBOULET

🎧 Les autres épisodes du podcast sur le thème de la réussite scolaire

➡️ Complétez vos connaissances sur le sujet de la réussite scolaire et des apprentissages

Bien souvent, les leçons s’enchaînent sans que les élèves ne fassent de liens ou dégagent une logique d’ensemble. Les enseignants déplorent le fait qu’ils oublient un chapitre sitôt l’évaluation terminée, et ne font pas de liens avec les chapitres suivants.

Comment faire pour y remédier ? Comment donner du sens à une leçon, puis plusieurs chapitres d’une matière ?

Une technique consiste à « déconstruire » l’organisation des leçons.

L’objectif est de trouver une autre logique, une autre organisation des connaissances que celle proposée par l’enseignant. Cela peut être fait pour une leçon, pour un chapitre, voire pour plusieurs chapitres d’une même matière.

L’idée est de faire une carte mentale sur une notion transversale.

Par exemple, en Histoire, on utilise le fait que certains personnages sont récurrents. On fait alors une carte mentale sur l’un d’entre eux. Par exemple, avec le cours à portée de main, on fait une carte sur le général de Gaulle, en y plaçant tout ce qu’on a vu sur lui. L’élève va aller « piocher » des informations dans différents chapitres pour les articuler différemment.

C’est une carte qui se fait au brouillon, le cours sous les yeux, sans consacrer de temps à l’esthétique. Cependant, l’élève pourra décider de mettre au propre une carte dont il juge qu’elle l’a bien aidé à comprendre un chapitre et en avoir une vision globale.

Un élève qui n’aime pas les cartes mentales peut faire cet exercice en rassemblant sur une page tout ce qui concerne une notion, en cherchant à organiser les informations différemment.

Si l’élève rédige ses cartes en utilisant également son manuel et quelques vidéos choisies sur Internet, il agrégera les connaissances bien plus efficacement que s’il se contente de lire son cours, puis lire le manuel, puis visionner quelques vidéos.

Cet exercice va conduire l’élève à se poser des questions, et à chercher les réponses pour compléter sa carte ou sa fiche. Il va progressivement mettre du sens dans les informations, en les organisant d’une façon différente.

Il arrive que des élèves disent qu’ils comprennent au moment de l’évaluation, en réfléchissant aux questions. Ce « symptôme » révèle le fait qu’ils ne se sont pas assez questionnés, les questions émergeant au moment de l’évaluation, donc trop tard. Cet exercice de réorganisation des informations sur une notion va l’entraîner à ce questionnement.

L’objectif est toujours de changer l’angle de vue sur la leçon, de créer de nouveaux liens.

C’est ainsi que le sens va jaillir. Et l’intérêt suit naturellement.

Par exemple : la notion de « dorsale océanique » apparaît dans plusieurs leçons du programme de SVT de 4ème. Faire une carte mentale rassemblant tout ce qu’on a appris sur cette notion, en ayant le cours et le manuel sur les yeux, permet à la fois

– De faire des liens entre les leçons

– De réactiver les connaissances plus anciennes, si les leçons se sont étalées sur l’année scolaire.

Ensuite, regarder une vidéo éducative en ayant pour objectif de compléter ce qu’on a écrit sur les dorsales océaniques rend le visionnage utile. Il permet de compléter et ancrer les connaissances.

Cet épisode est proposé par Anne-Paule DUBOULET

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➡️ Complétez vos connaissances sur le sujet de la réussite scolaire et des apprentissages

Une leçon est un ensemble cohérent de connaissances faisant partie d’un thème précis, plus ou moins large. Par exemple : une leçon d’Histoire au lycée sur la Guerre froide, une leçon de 4ème sur le volcanisme. L’enseignant a construit son cours en suivant une certaine logique, et les élèves ont une tendance naturelle à l’apprendre dans l’ordre, en suivant cette logique. Souvent, les questions posées en évaluation contiennent des mots-clefs permettant de faire un lien direct avec la partie du cours dans laquelle se trouve la réponse. L’élève qui a appris sa leçon peut alors s’en sortir. Le problème est qu’au fil des années, les attentes changent, et cette façon linéaire d’apprendre ne suffit plus. De plus, elle est souvent source d’ennui, lorsque les élèves se contentent d’apprendre leur cours depuis le début jusqu’à la fin. Comment faire, alors, pour mettre du sens dans une leçon et la rendre attrayante pour bien l’apprendre ?

Première méthode : illustrer le cours

Cela consiste à chercher des photos, des illustrations, afin d’avoir plus de supports visuels sur la leçon. Mettre une image sur un mot permet à tous les élèves de comprendre la signification de ce mot. C’est valable même pour ceux qui, par la suite, n’utilisent pas leur mémoire visuelle. L’image est là au tout début du processus de compréhension, pour donner du sens.

C’est encore mieux de proposer plusieurs images, d’avoir plusieurs exemples. Ainsi pour le terme « clef de voûte », dans un cours d’Histoire sur la construction des églises, on pourra chercher différentes photos, des schémas, des peintures,.. Internet est une parfaite ressource pour cela, en plus du manuel scolaire.

Lorsque l’enfant a vu plusieurs images, laissez-lui le temps de repenser à ce qu’il vient de voir. Ce temps d’évocation mentale est la clef pour que le cerveau enregistre la nouvelle connaissance. Ce principe est valable aussi pour le visionnage d’une vidéo : il faut lui donner le temps de repenser à ce qu’il vient de regarder.

Pour un mot qui ne peut pas être illustré, trouvez différentes phrases qui l’emploient. Par exemple, plusieurs phrases avec le mot « onéreux », dans différents contextes : « j’économise pour faire un voyage onéreux », « après l’orage, j’ai dû faire des réparations onéreuses sur ma toiture». C’est en pensant à ces phrases concrètes que l’enfant mettra petit à petit du sens sur le mot.

Deuxième méthode : les questions naïves

Bien souvent, les élèves savent répondre à des questions assez élaborées sur leur cours, mais sont embarrassés par une question toute simple. C’est le signe d’une compréhension superficielle.

Par exemple, un élève sait quel type d’éruption caractérise le volcan du Poas au Costa-Rica, mais ne sait pas placer le Costa-Rica sur une carte du monde. Cela révèle qu’il a appris un nom de lieu sans mettre de sens sur ce lieu.

Ou bien il connaît les dates de différents évènements de la 2ème guerre mondiale, mais a besoin de réfléchir un instant pour savoir lequel a eu lieu avant l’autre. Cela montre qu’il a appris les dates sans mettre de sens, et sans se questionner sur les relations de cause à effet par exemple.

Pour trouver ces questions naïves, imaginez ce que demanderait un enfant, ou quelqu’un qui ne connaît rien au sujet. Les questions de base sont aussi pertinentes : Qui est-ce ? Où est- ce ? Comment fait-on ? Quand est-ce que cela a eu lieu ?

Un bénéfice secondaire de ces astuces permettant de mettre du sens sur une leçon est qu’elles la rendent moins ennuyeuse.

Quand un simple mot évoque tout de suite beaucoup de choses connues, l’intérêt est stimulé. D’un coup, le Costa Rica devient ce pays d’Amérique du Sud, à la végétation luxuriante, où pousse le café que les parents boivent le matin, et où se trouve un volcan qui a des éruptions explosives. Des liens se sont créés. Le savoir acquiert du sens. La compréhension et la mémorisation se mettent en place.

Cet épisode est proposé par Anne-Paule DUBOULET

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Les enseignants déplorent une baisse de la culture générale des élèves. Ils observent un savoir parcellaire, sans organisation ni hiérarchisation des informations. Les élèves ne donnent pas de sens à leurs connaissances, ils se contentent de juxtaposer des informations.

En même temps, les vidéos éducatives, sur les réseaux sociaux, remportent un grand succès. Elles traitent de l’Histoire, des sciences, de l’orthographe… le plus souvent avec un montage dynamique, de l’humour, des faits frappants. Elles sont le plus souvent très courtes, quelques minutes.

N’est-ce pas paradoxal ? Un manque de culture malgré un visionnage parfois intensif de vidéos qui diffusent du savoir ?

Cela ne l’est en fait pas tant que ça. Construire son savoir, sa culture générale nécessite :

– Premièrement de mettre du sens dans ce qu’on voit, entend ou fait ;

– Deuxièmement de le relier à quelque chose qu’on connaît déjà.

Regardons de plus près ces deux étapes.

Premièrement, pour donner du sens, il est nécessaire de passer par un temps d’évocation mentale de ce qu’on est en train de lire ou regarder.

Prenons un contre-exemple : ce qui se passe lors du « binge watching ». Cette expression désigne le fait de regarder des séries télé en continu, sans s’arrêter. Regarder à la suite les 15 épisodes constituant une saison d’une série, ce qui peut durer 6 heures, est du binge watching. L’inconvénient de cette façon de consommer des programmes audio-visuels est qu’elle ne donne pas le temps de penser à ce qu’on est en train de regarder. Les images défilent, de même que les dialogues, sans que le cerveau ait le temps d’imprimer.

Conséquence : tout ce qui a été vu et entendu ne s’inscrit pas dans la mémoire. A la fin du visionnage, la personne sera bien en peine de raconter en détail tout ce qui s’est passé. Il lui restera la trame et quelques scènes qui l’ont frappée. Cela ne l’a pas empêchée de prendre du plaisir. Simplement, il ne lui en reste rien après coup.

C’est une première raison pour laquelle un ado qui a regardé pendant des heures des vidéos qui ont pourtant un intérêt pédagogique, n’en retient pratiquement rien. Son cerveau n’a pas eu le temps de se l’approprier. Il lui aurait fallu du temps pour « coder » ce qu’on lui présente.

Deuxièmement, construire son savoir nécessite de faire des liens entre les informations.

Comprendre quelque chose consiste en effet à le relier à quelque chose qu’on connaît déjà. C’est tout le travail de l’enseignant que d’ajouter de nouvelles connaissances en les rattachant à ce qui a été vu auparavant. Ainsi, un élève qui regarde une vidéo qui raconte une anecdote amusante sur le général de Gaulle lorsqu’il était à Londres, n’en fera rien et l’oubliera vite s’il ne fait pas un lien avec qui était le général de Gaulle, ce qu’il faisait à Londres, quand, pourquoi, etc. Tout se passe comme si les briques de construction d’un édifice étaient éparpillées sur le sol, au lieu d’être assemblées entre elles avec un plan d’ensemble.

Nous verrons dans les épisodes suivants comment faire pour rendre ces vidéos, dont les ados sont friands, utiles à la recherche de sens et à la construction du savoir.

Cet épisode est proposé par Anne-Paule DUBOULET

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Dans un autre épisode  « Les fiches de révision, est-ce vraiment utile ? » nous avons vu que, pour être utile, la fiche de révision doit vous permettre de réaliser au moins l’une des trois opérations mentales indispensables aux apprentissages : comprendre, mémoriser et réfléchir.

Pourquoi faire des fiches vous aiderait-il à mieux comprendre et réfléchir ? 

Dans cet article, je vous propose de :

• Vous rappeler ce qu’il faut faire pour comprendre et pour réfléchir, 

• Voir en quoi les fiches peuvent vous apporter une aide précieuse,

• Vous présenter différents types de fiches pour enrichir vos méthodes de travail

Comprendre et réfléchir

Qu’est-ce que « comprendre » ?

Il existe 5 questions qui permettent d’approfondir la compréhension, elles peuvent être posées quel que soit le contenu du cours.

« C’est quoi ? » Cette question permet de définir la notion : la formule du théorème en mathématique, le concept en SES ou en philosophie… Définir suppose de connaitre le sens de chacun des termes employés

« Pour quoi faire ? » Se poser cette question suppose d’anticiper l’usage concret de ce que vous voulez comprendre.  Quel type de problème cette connaissance va-t-elle vous permettre de résoudre ?

« Comment ? » Quelle est la démarche à suivre pour utiliser cette connaissance ? Comment introduire ce concept dans une dissertation ? Comment utiliser cet outil mathématique dans un exercice ? Il s’agit de maitriser le mode d’emploi pratique de la notion ou de l’outil concerné.

« Avec Quoi ? » C’est parce que vous aurez une vue d’ensemble du sujet que vous pourrez organiser vos connaissances et les réutiliser au moment opportun. Il s’agit donc de remettre cette notion ou cet outil dans son contexte : chapitre du cours, mouvement de pensée, contexte historique … La mémoire fonctionne par liaisons et par associations : Avec quelle autre connaissance pouvez-vous mettre celle-ci en relation ?

« Pourquoi ? » D’où vient cette notion ? Quelle est la démonstration de ce théorème ? Pourquoi cet outil a-t-il été conçu ? Il s’agit de développer une curiosité pour les conditions d’apparition de cette connaissance. Ces informations constitueront des liens supplémentaires pour la mémoriser.

Alors, pourquoi les fiches de révision vous permettraient-elles de mieux comprendre ?

Tout simplement parce que faire une fiche vous conduit à répondre aux 5 questions de la compréhension. Il s’agit donc d’une démarche concrète et efficace pour approfondir vos connaissances et savoir-faire.

C’est pourquoi utiliser une fiche toute prête n’a pas la même efficacité.

 Qu’est-ce que « réfléchir » ?

Réfléchir consiste à mettre en lien un problème présent avec des connaissances mémorisées.

Plus vos connaissances seront hiérarchisées, structurées et organisées, plus vous serez capable de retrouver les outils et les notions dont vous avez besoin en fonction des problèmes qui vous sont posés.

Alors, pourquoi les fiches de révision vous permettraient-elles de mieux réfléchir ?

Parce que cela vous conduit à organiser et à trier vos connaissances. Ainsi, quand vous devrez répondre à une question, rechercher dans votre mémoire la connaissance appropriée sera plus facile.

Les différents types de fiches

La fiche de cours

On connait tous la fiche la plus classique, celle qui permet de résumer le cours. 

Elle vous oblige à répondre à 3 des 5 questions de la compréhension « C’est Quoi ? » « Pourquoi ? » et « Avec Quoi ? ».

Ainsi vous synthétisez vos connaissances en ayant le souci de mettre en évidence les définitions, les démonstrations et les faits importants et les liens qui existent entre eux.

A vous de trouver la mise en page et les codes qui vous conviennent pour rendre cette fiche attrayante. Il est important de savoir que l’on a une meilleure vision globale sur une fiche A4 présentée à l’horizontal.

Une autre forme intéressante pour les fiches de synthèse est la carte mentale, encore plus visuelle et permettant de mettre en évidence les liens entre les informations.

La fiche méthode

Elle vous conduit à répondre aux questions « C’est Quoi ? » « Pour quoi faire ? » et « Comment ? ».

Vous établissez clairement la définition d’un outil (théorème, loi, règle, concept…), l’usage concret que vous pouvez en faire et la démarche pour l’utiliser. Par exemple, vous pouvez décrire une formule de maths et comment l’appliquer dans un exercice type.

La fiche analyse ou questions

Elle vous permet de répondre aux questions « Pour quoi faire ? » et « Avec Quoi ? ».

Cet épisode est proposé par Odile COLLENOT

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Les fiches de révision, est-ce vraiment utile ?

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Pour aider votre enfant à choisir un domaine de droit, il est important de discuter avec lui de ses intérêts personnels et professionnels, ainsi que de ses aspirations de carrière. Pour l’aider, il est utile de lui présenter les différences entre les deux grands domaines de spécialisation, droit privé et droit public, ainsi que les opportunités et les défis professionnels qui y sont associés. Choisir, c’est préféré !

✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS :

  • Qu’est ce que le droit privé et le droit public ?
  • Quelles sont les passerelles entre droit privé et droit public ?

En général, les étudiants en droit commencent par apprendre les principes fondamentaux du droit dans le cadre de leur programme de base, qui comprend souvent des cours sur le droit constitutionnel, le droit civil, le droit pénal et le droit commercial. Après avoir suivi ces cours de base, les étudiants choisissent une spécialisation dans le domaine du droit privé ou du droit public, vers la fin de leur deuxième ou troisième année de droit.

A ce stade les étudiants ont une meilleure compréhension de l’ensemble du système juridique et ont eu la possibilité de suivre des cours optionnels dans divers domaines du droit, leur permettant de déterminer quel est celui qui convient le mieux à leurs intérêts et objectifs professionnels.

Il est utile de noter que le choix entre le droit privé et le droit public n’est pas définitif et qu’il est possible pour les avocats de se spécialiser à tous moments de leur carrière. Il n’est d’ailleurs pas rare que les avocats travaillent sur des cas qui impliquent les deux domaines de droit, en particulier dans les domaines de la propriété intellectuelle, de la propriété commerciale, du droit de la famille et du droit du travail, qui ont des aspects à la fois privés et publics.

Qu’est ce que le droit privé et le droit public ?

Le droit privé concerne les relations juridiques entre des particuliers ou des entités privées, comme les contrats, les successions, le droit des sociétés, le droit de la propriété intellectuelle, le droit des contrats, le droit des obligations, le droit de la famille et le droit du travail. Les avocats spécialisés en droit privé travaillent dans des cabinets d’avocats ou au sein d’entreprises, et conseillent les clients sur les questions juridiques relatives à leurs affaires privées.

Le droit public, en revanche, concerne les relations juridiques entre les particuliers et les entités gouvernementales, comme le droit administratif, le droit constitutionnel, le droit international et le droit de l’environnement. Les avocats spécialisés en droit public peuvent travailler pour des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales, des organisations internationales ou des cabinets d’avocats.

Quelles sont les passerelles entre droit privé et droit public ?

Il existe de nombreuses passerelles entre le droit privé et le droit public, les compétences acquises dans l’un sont ainsi transférables dans l’autre. Par exemple :

Les compétences en droit des contrats, droit des sociétés ou droit fiscal acquises dans le cadre d’une formation en droit privé sont tout aussi utiles dans le secteur public, notamment pour les entreprises soumises à des réglementations publiques. Autre exemple, les compétences en droit administratif, droit constitutionnel ou droit fiscal acquises lors d’une formation en droit public s’avèrent très utiles dans le cadre d’un travail en droit privé, notamment pour les entreprises ayant des relations avec l’administration publique ou pour les avocats spécialisés dans les contentieux administratifs.

Certaines spécialisations en droit, telles que le droit de l’environnement, le droit de la santé ou le droit de la propriété intellectuelle, peuvent être liées à la fois au droit privé et au droit public.

Choisir une spécialité dans le domaine du droit peut être une décision difficile à prendre pour un jeune étudiant qui s’apprête à entrer dans l’enseignement supérieur. En fin de compte, il est important que votre enfant choisisse une spécialité qui l’intéresse et qui lui permettra de réaliser ses objectifs professionnels et personnels. Encouragez-le à prendre le temps de réfléchir et de se renseigner avant de prendre une décision.

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Cet épisode est proposé par Charlotte BROYET

Choisir entre une école de droit ou une université pour se former aux métiers du droit a un impact sur la future carrière professionnelle de votre enfant. Après avoir décrit le profil type des étudiants en droit en fonction des différentes filières d’études, voici d’autres critères à prendre en compte pour aider votre enfant à choisir entre école de droit ou université.

✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS :

  • La réputation et l’accréditation 
  • Les spécialisations et programmes 
  • Le coût et le financement  
  • La localisation et le réseau professionnel   
  • Les installations et ressources

La réputation et l’accréditation

Premier critère à évaluer : la réputation de l’école de droit ou de l’université. Les écoles de droit et les universités reconnues offrent souvent des programmes de qualité supérieure, des enseignants expérimentés, ainsi que des ressources et des installations de qualité. Il est également important de vérifier si l’école de droit ou l’université est accréditée par une organisation professionnelle ou gouvernementale.

De nombreux classements d’écoles existent basés sur des critères tels que la qualité de l’enseignement, la recherche, les publications scientifiques, les installations, etc. Faites des recherches en ligne, parlez aux étudiants et aux anciens élèves, visitez les facultés ou écoles de droit.

Les spécialisations et programmes

Deuxième critère : les spécialisations et programmes de formations proposés par l’école de droit ou l’université. Les programmes de droit peuvent être généralistes ou spécialisés, comme le droit des affaires, le droit pénal, le droit de la famille, etc. Votre enfant doit choisir une école de droit ou une université qui propose des spécialisations correspondant à ses intérêts et objectifs professionnels.

Pour l’aider, il est important que votre enfant comprenne :

– d’une part, les différentes spécialités du droit, leurs domaines d’application. Par exemple, le droit des affaires se concentre sur les transactions commerciales, le droit pénal sur les crimes et les délits, le droit de la famille sur les relations familiales, etc.

– et d’autre part les compétences associées. Par exemple, le droit des affaires nécessite une compréhension de la finance et des affaires,  le droit pénal requiert de solides compétences en analyse et en argumentation quand le droit de la famille demande une connaissance approfondie des questions familiales et de la psychologie.

Le coût et le financement

Troisième critère : le coût des études. Il est utile de se renseigner sur les frais de scolarité, les coûts de la vie et les possibilités de financement, comme les bourses d’études, les prêts étudiants, les subventions, etc.

Il existe de nombreuses ressources en ligne qui peuvent aider à comprendre les coûts et les options de financement des études de droit en France. Des sites Web comme celui de l’Éducation Nationale, du ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, peuvent fournir des informations sur les frais de scolarité, les bourses et les aides financières disponibles.

Vous pouvez aussi contacter les universités directement pour obtenir des informations sur les frais de scolarité et les options de financement.

La localisation et le réseau professionnel

Quatrième critère : l’implantation de l’école de droit ou de l’université qui peut avoir un impact sur les perspectives d’emploi et les opportunités de stage. Préférez une école de droit ou une université située dans une région offrant des perspectives d’emploi dans le domaine juridique et des opportunités de stage pertinentes. Renseignez-vous également sur le réseau professionnel offert par l’école de droit ou de l’université, car cela peut être un atout pour trouver un emploi après l’obtention du diplôme.

Les installations et ressources

Et enfin cinquième et dernier critère : les installations et ressources proposées par l’école de droit ou l’université. Regardez par exemple, les bibliothèques, les laboratoires, les installations informatiques, les partenariats entreprises, les salons, les événements organisés et les autres ressources proposées par les établissements. En résumé, le choix d’une école de droit ou d’une université doit être réfléchi et bien informé. Renseignez-vous sur internet, allez visiter les établissements et parler avec les étudiants ou alumnis avant de faire votre choix.

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Pour accéder aux métiers du droit, de nombreuses filières de formations sont possibles. Avant de faire un choix, il est important de comprendre les différences entre chacune des filières et réfléchir avec votre enfant à ses intérêts, ses aspirations et ses objectifs professionnels. En effet, chaque parcours d’études développe des compétences propres, des connaissances uniques et forme à des métiers spécifiques. Voici un tour d’horizon des principales filières de formation en droit et le portrait-robot de l’étudiant.

✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS :

  • Les universités plébiscitées par près de 70% des étudiants en droit 
  • 10% des étudiants choisissent de s’orienter vers des écoles de droit
  • Seul 1% des étudiants choisissent la voie des instituts d’études politiques (IEP)
  • Les formations de niveau Bac+2 à Bac+3, menant à des diplômes tels que le BUT Carrières Juridiques, le BTS Notariat, le DEUST Droit ou la Licence professionnelle Métiers du droit.

Les universités plébiscitées par près de 70% des étudiants en droit

Les filières universitaires en droit sont généralement plus théoriques et axées sur l’acquisition de connaissances juridiques. Les étudiants en universités sont passionnés par la recherche et l’analyse de cas complexes. Ils sont souvent assez disciplinés, rigoureux et disposent d’un bon esprit critique. Ces étudiants développent une grande autonomie et une capacité à travailler seuls pour approfondir leurs connaissances en droit. Ces étudiants cherchent souvent à poursuivre une carrière dans la recherche, l’enseignement ou la pratique du droit.

La filière universitaire permet de préparer une licence en droit, programme de trois ans permettant d’obtenir des connaissances de base en droit. Les étudiants poursuivent généralement par un master en droit, en deux ans, pour approfondir les connaissances et se spécialiser dans des disciplines comme le droit des affaires, le droit international, le droit pénal, le droit de la propriété intellectuelle, le droit fiscal, etc.

10% des étudiants choisissent de s’orienter vers des écoles de droit

Les écoles de droit sont souvent plus orientées vers la pratique du droit, avec une approche plus pragmatique et professionnalisante. Les étudiants en écoles de droit cherchent souvent à acquérir des compétences pratiques, telles que la négociation, la médiation et la résolution de conflits. Ces étudiants développent souvent une forte capacité à communiquer, à travailler en équipe et à résoudre des problèmes complexes. Ils cherchent souvent à poursuivre une carrière dans des cabinets d’avocats, des entreprises, des organisations gouvernementales ou des ONG.

Ces écoles sont souvent plus coûteuses que les universités publiques. Certaines sont également accréditées par le barreau, ce qui signifie que les diplômés peuvent passer directement l’examen du barreau sans avoir à suivre une formation supplémentaire.

Avez-vous pensé aux écoles de commerce ? Quelques-unes proposent des spécialisations en droit des affaires, en fiscalité ou en droit international des affaires. Ces formations sont destinées aux étudiants qui souhaitent se spécialiser dans le domaine juridique tout en acquérant des compétences en gestion et en commerce.

Seul 1% des étudiants choisissent la voie des instituts d’études politiques (IEP)

Les étudiants en droit inscrits en IEP « sciences po » sont souvent intéressés par les questions politiques, économiques et sociales. Ils cherchent à comprendre comment le droit est lié à ces enjeux. Les étudiants en IEP ont tendance à être très engagés et actifs, et à vouloir apporter des changements positifs dans la société. Ils ont également une forte capacité de réflexion critique et d’analyse de politique publique. Les étudiants en IEP peuvent poursuivre une carrière dans les organisations internationales, les ONG, les cabinets d’avocats spécialisés dans le droit international ou le droit des affaires.

Les autres étudiants se dirigent vers des parcours d’études courts, qui sont des formations de niveau Bac+2 à Bac+3, menant à des diplômes tels que le BUT Carrières Juridiques, le BTS Notariat, le DEUST Droit ou la Licence professionnelle Métiers du droit.

Le BUT Carrières Juridiques

Il s’agit d’une formation polyvalente qui permet aux étudiants d’acquérir des compétences juridiques, administratives et comptables. Les étudiants de cette filière sont souvent des personnes qui souhaitent travailler dans le secteur juridique, mais qui ne sont pas certaines de leur spécialisation future.

Le BTS Notariat

Cette formation prépare les étudiants à travailler dans les offices notariaux. Les étudiants de cette filière ont généralement un profil sérieux et rigoureux, avec un goût pour le travail de bureau et les tâches administratives.

Le DEUST Droit

Cette formation permet aux étudiants d’acquérir des connaissances de base en droit, tout en bénéficiant d’une expérience professionnelle grâce à des stages. Les étudiants de cette filière ont généralement un profil polyvalent et curieux, avec un intérêt pour les différentes branches du droit.

La Licence professionnelle Métiers du droit

Cette formation permet aux étudiants de se spécialiser dans un domaine du droit, tout en bénéficiant d’une expérience professionnelle grâce à des stages. Les étudiants de cette filière ont généralement un profil ambitieux et déterminé, avec un projet professionnel clair.

Les parcours de formations en droit sont nombreux. Choisir la bonne filière peut donc s’avérer être une tâche complexe qui nécessite une compréhension approfondie du profil académique et personnel de votre enfant, ainsi que de ses aspirations professionnelles. Invitez-le à prendre le temps de réfléchir soigneusement à toutes les options et soutenez-le dans sa décision.

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Cet épisode est proposé par Charlotte BROYET

 Les métiers du droit exigent des qualités humaines et des compétences spécifiques selon les fonctions exercées. Quelle est la recette magique ? Voici une liste d’ingrédients indispensables pour réussir dans cette profession aussi exigeante que passionnante. 

✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS :

  • faculté d’adaptation
  • rigueur
  • pédagogie
  • curiosité
  • sens du service
  • écoute

La pièce maitresse pour réussir dans les métiers du droit est la faculté d’adaptation. Les avocats, les juristes et les magistrats doivent être capables de s’adapter en permanence à des situations et des contextes variés. Savoir gérer aussi bien le prévisible que l’imprévisible.

Ajoutez à cela une touche de rigueur indispensable pour travailler dans le secteur juridique. Les professionnels qui réussissent sont ceux qui font preuve d’une extrême précision dans leur travail, notamment dans la rédaction de contrats, de jugements ou de plaidoiries. Ce sont ceux qui sont très attentifs aux délais et à tous les détails pour éviter les erreurs qui pourraient avoir de graves conséquences dans leurs dossiers.

Une pincée de pédagogie, ingrédient déterminant dans le domaine juridique. Un bon avocat ou un bon juriste est un professionnel capable de communiquer simplement et efficacement avec ses clients, souvent peu familiers avec le jargon et les termes juridiques. Outre ses qualités de communication, un professionnel du droit doit être doté de capacités d’analyse et de synthèse pour synthétiser des informations ou encore analyser des textes juridiques.

Soupoudrez le tout d’une bonne dose de curiosité, incontournable pour réussir. Les professionnels du droit doivent être constamment à l’affût des évolutions juridiques, des nouvelles lois et des jurisprudences récentes pour pouvoir accompagner au mieux leurs clients. Ils doivent également être en mesure de trouver des solutions originales pour résoudre les problèmes de leurs clients, en proposant des solutions créatives, innovantes et non attendues.

Enfin, pour finaliser la recette, ajoutez 3 cuillères à soupe de sens du service et 6 cuillères à soupe d’écoute. Les avocats, les juristes et les magistrats ont pour mission de servir les intérêts de leurs clients. L’écoute est un outil indispensable pour les servir au mieux. Ils doivent également faire preuve d’empathie et de compassion pour comprendre leurs problématiques.

En conclusion, les métiers du droit requièrent non seulement une base solide de compétences techniques, mais aussi des ingrédients ou qualités humaines essentielles telles que l’empathie, l’adaptabilité et la rigueur. Il est important pour les parents d’encourager leur enfant à développer ces compétences, qui peuvent être travaillées seul ou avec l’aide d’un tiers. Encouragez vos enfants à cultiver leurs talents innés pour réussir leur future vie professionnelle dans les métiers du droit.  

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